Roberto Escuelos avait poursuivi sa prophétie concernant Caterham et l’arrivée d’un nouveau Team Principal à sa tête en la personne de Cyril Abiteboul. Car ce type Escuelos, à ne pas confondre avec un quelconque autre Escuelos champion international de patins à roulettes prénommé André, semblait porter une affection toute particulière à la marque Caterham à laquelle il prédisait le plus grand avenir, peut-être parce que Caterham avait du flair en reprenant les droits de la Lotus 7. Bien d’autres marques, plus prétentieuses, avaient souhaité se faire une place d’entrée de jeu parmi les constructeurs automobiles de voitures de luxe, de sport et de prestige… établis. Seulement, de nombreux s’y étaient cassé les doigts plus ou moins rapidement. Non, Caterham, du nom d’une ville anglaise, ne suivrait pas le même destin. Caterham passerait d’abord par la case réplique… sismique. Car jamais Caterham ne versa dans la réplique ; c’est là d’ailleurs que résiderait son secret et, qui sait, son succès à venir. Imaginons un peu une marque fondée sur la reprise d’un modèle mythique qui un jour, beaucoup plus tard, deviendrait une marque aussi renommée que Porsche, Bentley, Lamborghini… Peut-être serait-ce ça Caterham.