Vendredi s'est tenu à New-York le premier d'une série de procès mettant en cause les défaillances des gestions électroniques du constructeur Toyota. Ce dernier a été blanchi par le jury.


Toyota faisait en effet l'objet d'une plainte après un accident mettant en cause une Scion et survenu en 2005 ; son conducteur avait porté plainte, invoquant une mauvaise fixation du tapis de sol. L'homme a été débouté par le jury qui, après avoir délibéré durant 45 minutes, a jugé que le constructeur n'était pas responsable. Un avis suivant celui de l'expert qui avait établi que le système de gestion n'avait eu aucune influence sur l'accident.


Dans un communiqué de presse, Toyota s'est s'est dit « heureux que le jury ait jugé ces accusations d'accélération involontaire sans fondement » et qu'il ait « refusé de croire au témoignage selon lequel un tapis de sol aurait pu coincer la pédale d'accélérateur de la Scion », se félicitant d'une décision à même de créer « un précédent important pour les litiges sur des accélérations involontaires contre Toyota dans tout le pays » et qui « démontre clairement l'incapacité des plaignants à identifier, et encore moins prouver, l'existence d'un défaut électronique des véhicules Toyota qui aurait pu causer des accélérations involontaires ».

Source Autoactu.