Par Anonyme
On va donc remplacer un certain nombre de véhicules "polluants" par un nombre plus important de véhicules "moins polluants". Il y a donc de fortes chances pour que globalement, on pollue davantage, soit l'effet inverse de la raison officielle de la manoeuvre. Encore une fois,l'écologie a bon dos. Elle permet de tout justifier, y compris qu'on augmente la production automobile alors qu'on sait que, contraints et forcés, il nous faudra probablement, à très court terme, remettre à plat nos modes de vie occidentaux. Mais, jusque là, tout va bien, n'est-ce pas ? Le mur ? Quel mur ?