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Radars urbains : ils " flashent " pour de bon dès aujourd'hui

Dans Pratique / Radars

Julien Bertaux

Ils sont petits, discrets, mais pourraient faire mal ! Depuis ce jour, ces nouveaux radars sévissent dans plusieurs villes avec à la clé des amendes si vous ne respectez pas le Code de la route. Seulement, beaucoup de ces radars ne sont que des leurres.

Ils ne sont pas tous actifs, mais ces radars urbains vont distribuer leurs premières amendes.
Ils ne sont pas tous actifs, mais ces radars urbains vont distribuer leurs premières amendes.

Ils sont en expérimentation depuis 2021 dans différentes villes telles que Toulouse, Marseille, Montbéliard et Montpellier et devaient initialement être opérationnels en fin d’année dernière. C’est désormais le cas puisqu’ils sont effectifs depuis ce mardi 16 janvier.

Ces radars sont d’une grande discrétion. En plus d’être compacts, donc difficile à repérer, ils peuvent être fixés sur du mobilier urbain déjà existant, sur n’importe quel type de mât, et n'ont pas besoin de flasher pour obtenir un cliché. Les automobilistes sont par ailleurs prévenus par des panneaux situés en amont entre 20 à 50 mètres. Seulement, ces derniers sont également discrets…

Pour le moment, ces radars sont prévus pour deux types d’infractions : la vitesse ou le franchissement d’un feu rouge. À Marseille, c’est la deuxième option qui a été retenue afin de protéger les piétons.

De nombreux radars « inoffensifs »

Une très grande majorité de ces radars ne sont que des leurres. Impossible de connaître leur nombre exact, mais ils ne seraient qu’une poignée à être capable de verbaliser sur la centaine installée. Ces radars non actifs permettent de réaliser des économies tout en assurant leur rôle de persuasion. À Belfort, 19 cabines sont installées, on en dénombre trois à Marseille et aux Pennes Mirabeau. Vingt autres cabines sont déployées à Toulouse, ville qui a abaissé sa vitesse à 30 km/h depuis le début de l’année.

Concernant les radars se focalisant sur la vitesse, les automobilistes peuvent se consoler avec la fin de la perte de point pour les petits excès. En effet, depuis le 1er janvier, les excès de vitesse de moins de 5 km/h ne sont plus soumis à la perte d’un point. En revanche, l’amende est toujours d’actualité avec une sanction financière de 68 € sur les axes limités à plus de 50 km/h et 135 € pour ceux limités à 50 km/h ou moins.

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Ces radars urbains devraient contribuer au projet de loi de Finances qui prévoit des recettes en forte hausse pour cette année. Il est prévu que l’État perçoive près de deux milliards d’euros, soit une hausse de 10 % par rapport à 2022.

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