Si la gamme Renault Mégane a connu des volumes de ventes mémorables, notamment grâce au Scénic qui était inclus dans les statistiques d'immatriculations, les variantes Coupé et Cabriolet sont restées dans un registre plus confidentiel. Pas rares, mais pas trop répandues, elles conservent ainsi un minimum d'originalité, qui parvient en partie à compenser leur dessin très conventionnel, sur un segment où la personnalité du style constitue généralement la clé du succès.Les coupés sont plus nombreux que les cabriolets, d'autant que la Mégane n'a jamais pu disposer d'un hard-top en accessoire. La variante à toit dur a donc logiquement pris l'ascendant dans les ventes, grâce à une moindre appréhension quant aux effractions et autres actes de vandalisme "gratuit" (sauf au moment de réparer !). Étonnamment, les modèles Coupé ont connu un regain de ventes avec l'apparition du moteur turbo-diesel à injection directe, peu en phase avec la notion de coupé, surtout au milieu des années 90, mais toutefois incontournable en France. Les modèles dTi et dCi ne sont pas trop difficiles à trouver sur le marché de l'occasion, mais sont chroniquement surcotés. On note enfin, dans cette offre assez fournie pour se permettre le temps de la réflexion, la rareté des modèles 2.0ide, à injection directe d'essence.

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