La question de l'intérêt à long terme d'une telle politique de « rebadgeage low cost » sur un même territoire de vente se pose. Même si Toyota n'est pas seul à procéder de la sorte, on peut légitimement se demander à quelle carrière commerciale peuvent s'attendre des autos comme le Subaru Trezia ou la Daihatsu Altis et maintenant la Daihatsu Mebius qui sont commercialisées sur les mêmes territoires que les Toyota qui leur servent de base.


De plus, aucun effort de différenciation n'est tenté et mis à part le changement de logo, difficile de trouver une différence entre Mebius et Prius+ (ou V). Techniquement, c'est également la même chose et finalement la seule différence tient dans le fait que la Mebius n'est disponible qu'en 5 places, contre une option 7 places pour la Toyota. Une politique étrange dont les objectifs à moyen et long terme m'échapperont toujours, tant cela ressemble à une tentative désespérée d'un constructeur mourant qui refuse de l'admettre.