Il est vingt-deux heures, coulons de paisibles Minuit chicanes jusqu’au dernier de la saison, annoncé au et planifié pour le 31 juillet prochain.


Cette question, je vous la livre dans sa plénitude : pourquoi tant de « aime » ? Certes l’automobile, et la passion automobile tout particulièrement, est-elle traversée de part et d’autre par l’amour. Mais, il s’agit ici de répondre en situation. S’il y avait tant de « aime » soit sans doute tout autant d’amour en cet endroit identifié comme lieu-dit de l’amour c’est bien, d’abord, parce qu’il ne pouvait s’agir d’autre chose, à moins d’oser ou pratiquer une transgression. Mais justement, tel n’était pas le propos. Il s’agissait d’aimer Opel, Opel et ses modèles, Opel et son histoire, tout ce qui a trait à la marque. Cela pour éviter toute méprise quant au Minuit chicanes qui avait déclenché l’ire de certains alors qu’au contraire il cherchait plutôt une grande réconciliation.


Il s’agissait aussi de pointer que l’amour n’était précisément pas en question. Ni l’amour ni la haine, d’ailleurs. C’est d’autre chose dont il s’était agi dans le Minuit chicanes présenté. Il s’était agi d’interroger la nomination, la désignation, de cette nouvelle Opel, de la replacer en perspective, le tout enrobé d’un style, d’un ton qui est ou qui sont un tant soit peu la marque visible des Minuit chicanes. De même que, précédemment, il s’était agi d’interroger la ligne de cette nouvelle Opel, de la replacer dans l’histoire des lignes automobiles contemporaines et, accessoirement, de faire un peu d’économie (comme Opel !), tout en concluant sur le singulier Ma Haie.