A l'issue de la première étape du Rallye du Mexique, Guy Frequelin se faisait l'écho du sentiment de révolte et d'incompréhension qui avait envahi l'ensemble du parc fermé. Car de nombreux pilotes, dont les sociétaires de Citroën, avaient été les victimes de l'inconséquence de certains spectateurs décérébrés, se livrant à une activité pour le moins condamnable : le jet de pierres sur les voitures, et la pause de gros cailloux sur le parcours des spéciales.

Loeb en a été quitte pour un pare brise fêlé, Sordo pour une jante touchée et une direction faussée, mais l'affaire a été plus grave pour Andréas Aignier et Mark Higgins puisque la rencontre fortuite avec ces obstacles en pleine trajectoire s'est traduite par des conséquences mécaniques plus sérieuses.

WRC: Mexique : les pierres d'achoppement

« Stupides et irresponsables », voilà le sentiment du boss des chevrons sur ces actions. C'est effectivement bien le moins que l'on pouvait en penser.