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Commentaires - La plus célèbre photo d'auto est un chef d'oeuvre involontaire

Michel Holtz , mis à jour

La plus célèbre photo d'auto est un chef d'oeuvre involontaire

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Deux très belles photos, un plaisir de les (re)voir, merci.

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Passioné aussi par l'aviation naissante, Lartigue la photographie, construit et fait voler des modèles réduits et essaie même de voler lui-même avec l'aide de sa famille.

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En réponse à Hcc1

Passioné aussi par l'aviation naissante, Lartigue la photographie, construit et fait voler des modèles réduits et essaie même de voler lui-même avec l'aide de sa famille.

   

Merci beaucoup pour vos précieux renseignements :bien:

Par

En réponse à Papydemontélo

Merci beaucoup pour vos précieux renseignements :bien:

   

Il a fait aussi quelques photos il y a juste 100 ans lors de la première réunion de planeurs au Puy de Combegrasse dans le parc des volcans d'Auvergne.

Par

Plaisant cet article, merci M. Holtz.

 

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Dans tous les domaines, les clichés sur le vif de Jacques Henri Lartigue sont des œuvres intemporelles.

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Passionné de photos et de prises de vue depuis mon 1er Canon QL19 que je n'ai malheureusement pas conservé .... tous les autres Canon et Nikon argentiques sont précieusement à l'abri de la poussière.

Beaucoup de photos prises en courses de côte dans les années 80.

Comparé au matériel de l'époque de Lartigue, il faut vraiment vouloir rater la photo pour aujourd'hui être déçu.

Le plus impressionnant sont la qualité et les performances offertes par les smartphones qui concurrencent aisément les reflex dans les photos courantes.

Par

En réponse à quoitrophil

Passionné de photos et de prises de vue depuis mon 1er Canon QL19 que je n'ai malheureusement pas conservé .... tous les autres Canon et Nikon argentiques sont précieusement à l'abri de la poussière.

Beaucoup de photos prises en courses de côte dans les années 80.

Comparé au matériel de l'époque de Lartigue, il faut vraiment vouloir rater la photo pour aujourd'hui être déçu.

Le plus impressionnant sont la qualité et les performances offertes par les smartphones qui concurrencent aisément les reflex dans les photos courantes.

   

Il y a tout de même encore de belles différences entre une image venant d'un reflex et celle d'un smartphone, même si, en effet, les progrès sont poectaculaires. Ne serait-ce que le bruit dans les tons sombres, bcp plus présents dans les images issues d'un téléphone. Sur l'écran d'un smartphone, c'est flatteur, mais une fois dans photoshop ou lightroom, on voit les limites. Mais pour les photos de vacances, c'est tout à fait suffisant.

Par

La déformation des roues et celle des spectateurs (inversées) sont dues aux limitations des obturateurs verticaux de l'époque, très lents à défiler.

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Le gars aurait inventé le filé alors ?

J'en ai fait un peu, pas facile à maîtriser comme technique. Mais quand on y arrive ça donne une super résultat. J'ai une photo de mes enfants sur une manège prise en filé, ça rend vraiment bien.

Par

En réponse à philippe.R

La déformation des roues et celle des spectateurs (inversées) sont dues aux limitations des obturateurs verticaux de l'époque, très lents à défiler.

   

Une explication ici https://fr.canon-cna.com/pro/infobank/electronic-vs-mechanical-shutter/

Lartigue a bien déplacé son appareil pour suivre la voiture (ce qui explique la déformation déformation des spectateurs) mais pas assez vite (ce qui explique la distorsion des roues).

Par

En réponse à philippe.R

La déformation des roues et celle des spectateurs (inversées) sont dues aux limitations des obturateurs verticaux de l'époque, très lents à défiler.

   

Oui les personnages penchés à gauche et les roues penchés à droite s'explique ainsi (la voiture allant plus vite que le mouvement du photographe). Le résultat reste spectaculaire "il aurait fait exprès qu'il n'aurait pas fait mieux"

Par

En réponse à philippe.R

Une explication ici https://fr.canon-cna.com/pro/infobank/electronic-vs-mechanical-shutter/

Lartigue a bien déplacé son appareil pour suivre la voiture (ce qui explique la déformation déformation des spectateurs) mais pas assez vite (ce qui explique la distorsion des roues).

   

Fente de l'obturateur se déplaçant du haut vers le bas et derrière l'objectif... ou l'inverse ? Non connaisseur de la photo je viens de comprendre pourquoi cette déformation en sens inverse des roues et des spectateurs.

Par

En réponse à v_tootsie

Il y a tout de même encore de belles différences entre une image venant d'un reflex et celle d'un smartphone, même si, en effet, les progrès sont poectaculaires. Ne serait-ce que le bruit dans les tons sombres, bcp plus présents dans les images issues d'un téléphone. Sur l'écran d'un smartphone, c'est flatteur, mais une fois dans photoshop ou lightroom, on voit les limites. Mais pour les photos de vacances, c'est tout à fait suffisant.

   

Je parle bien de photos courantes bien entendu prises avec l'objectif standard et non super grand angle où rien n'est vertical ou téléobjectif qui fait perdre du contraste et énormément de détails.

Mais vu la petite taille et le nombre réduit des lentilles de leurs objectifs, les performances des smartphones sont étonnantes grâce à leur logiciel de traitement des images.

Après, rien ne vaut la visée optique d'un bon reflex qui transmet l'image telle qu'elle apparaîtra une fois la photo prise, la souplesse du zoom, la multitude de réglages possibles et le plaisir de bien le maîtriser.

Les inconvénients du reflex sont son poids (+1kg avec zoom 17/40) et sa taille alors que le smartphone tient dans la poche.

Par

En réponse à Hcc1

Fente de l'obturateur se déplaçant du haut vers le bas et derrière l'objectif... ou l'inverse ? Non connaisseur de la photo je viens de comprendre pourquoi cette déformation en sens inverse des roues et des spectateurs.

   

En fait, l'image qui se forme sur le film est inversée. Donc, l'obturateur à rideaux se déplaçait bien du haut en bas dans la chambre noire de l'appareil mais du bas vers le haut par rapport à l'image. La déformation est liée à la fois au mouvement de suivi de la voiture réalisé par Lartigue et au décalage d'exposition du film lié au fonctionnement de l'obturateur à rideau réglé pour une vitesse d'obturation rapide. Dans ce cas, toute la surface de l'image n'est pas exposée au même moment puisque l'exposition se fait par déplacement simultané des deux rideaux juste séparés par une fente plus ou moins large en fonction de la vitesse d'obturation désirée. Depuis cette époque, les obturateurs à rideaux ont fait d'énormes progrès et ont permis des vitesses d'obturation très rapide (1/4000 sec voire 1/8000) mais la vitesse de synchronisation au flash dont l'éclair est extrêmement court reste limitée au 250 sec. Tout cela change avec les hybrides.

Par

En réponse à PhilVerce

En fait, l'image qui se forme sur le film est inversée. Donc, l'obturateur à rideaux se déplaçait bien du haut en bas dans la chambre noire de l'appareil mais du bas vers le haut par rapport à l'image. La déformation est liée à la fois au mouvement de suivi de la voiture réalisé par Lartigue et au décalage d'exposition du film lié au fonctionnement de l'obturateur à rideau réglé pour une vitesse d'obturation rapide. Dans ce cas, toute la surface de l'image n'est pas exposée au même moment puisque l'exposition se fait par déplacement simultané des deux rideaux juste séparés par une fente plus ou moins large en fonction de la vitesse d'obturation désirée. Depuis cette époque, les obturateurs à rideaux ont fait d'énormes progrès et ont permis des vitesses d'obturation très rapide (1/4000 sec voire 1/8000) mais la vitesse de synchronisation au flash dont l'éclair est extrêmement court reste limitée au 250 sec. Tout cela change avec les hybrides.

   

C'est bien ainsi que je l'avais imaginé à la suite d'un commentaire précédent. Merci de le confirmer.

Par

En réponse à quoitrophil

Passionné de photos et de prises de vue depuis mon 1er Canon QL19 que je n'ai malheureusement pas conservé .... tous les autres Canon et Nikon argentiques sont précieusement à l'abri de la poussière.

Beaucoup de photos prises en courses de côte dans les années 80.

Comparé au matériel de l'époque de Lartigue, il faut vraiment vouloir rater la photo pour aujourd'hui être déçu.

Le plus impressionnant sont la qualité et les performances offertes par les smartphones qui concurrencent aisément les reflex dans les photos courantes.

   

Par beau temps, lorsque l'on ne se soucie pas d'obtenir une faible profondeur de champ où que l'on ne cherche pas le dernier carat du détail en agrandissant la photo, les smartphones actuels font en effet de superbes photos. Mais en conditions de faible luminosité et/où lorsque l'on souhaite isoler le sujet avec un "bokeh" esthétiquement plaisant (ce que les smartphones arrivent à faire par traitement logiciel mais avec un rendu rarement vraiment naturel) et/où lorsque l'on souhaite obtenir une meilleure fidélité des couleurs...ainsi que tout un tas d'autres choses qu'il serait trop long d'énoncer, les reflex ou hybrides "mirrorless" gardent une supériorité criante.

Lorsque je compare les photos prises avec mon (bon) smartphone lors de mon dernier voyage en Toscane avec celles de mon appareil hybride, il n'y a vraiment pas...photo.

Par

En réponse à quoitrophil

Je parle bien de photos courantes bien entendu prises avec l'objectif standard et non super grand angle où rien n'est vertical ou téléobjectif qui fait perdre du contraste et énormément de détails.

Mais vu la petite taille et le nombre réduit des lentilles de leurs objectifs, les performances des smartphones sont étonnantes grâce à leur logiciel de traitement des images.

Après, rien ne vaut la visée optique d'un bon reflex qui transmet l'image telle qu'elle apparaîtra une fois la photo prise, la souplesse du zoom, la multitude de réglages possibles et le plaisir de bien le maîtriser.

Les inconvénients du reflex sont son poids (+1kg avec zoom 17/40) et sa taille alors que le smartphone tient dans la poche.

   

Je n'avais pas vu ce post qui rejoint les observations de mon commentaire précédent.

En ce qui concerne le poids, les appareils de type "mirrorless" ont généralement des boîtiers et des objectifs nettement plus compacts que les enclumes que sont les reflex traditionnels.

Un Olympus E-M1 (ou a fortiori E-M5, encore plus compact) avec un objectif pro 12-100 f2.8-3.5 (équivalent à un 24-200 chez Nikon ou Canon) n'est vraiment pas une punition à porter et étant donné sa grande polyvalence, peut être le seul et unique objectif que l'on emporte en vacances (à moins de vouloir faire de la photographie macro ou de la photographie animalière).

 

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