Après avoir obtenu ses papiers, on peut se présenter dans une station-service pour acheter son carburant (une voiture neuve est livrée avec trente litres maxi de combustible dans le réservoir). Celui-ci est contingenté, trente litres par mois et par véhicule. Il n’y a plus la distinction essence et gazole comme autrefois, les nouvelles découvertes au niveau de la combustion des moteurs permettent maintenant d’utiliser un carburant mixte. Ce qui a entraîné par la même occasion la disparition les anciens véhicules à moteur traditionnel essence ou diesel.

Heureusement pour l’amateur d’automobile, on peut toujours en voir de beaux spécimens dans les musées. Autre disparition, celle des plaques d’immatriculation, remplacées par un badge électronique qui peut comme sur la Villo être caché par une petite plaque où est reproduit le nom du modèle, ou bien encore à l’intérieur de l’habitacle ou dans le compartiment moteur. Dans cet équipement électronique lié à chaque véhicule, on trouve un émetteur récepteur branché à l’ordinateur central du véhicule. Celui-ci peut communiquer avec l’extérieur et donner l’immatriculation du véhicule aux radars automatiques, avec envoi automatique de l’amende en cas de dépassement de la vitesse autorisée (30 km/h en ville, 70 km/h sur les routes nationales, 100 km/h sur les autoroute payantes et privées). Ce système s’avère aussi précieux pour les forces de l’ordre, les personnels du trésor public qui peuvent consulter instantanément sur leur ordinateur si la voiture est en règle, si la consommation et la pollution ne dépassent les normes en vigueur, si le propriétaire à bien régler toutes les taxes, les amendes, etc. Un système analogue placé dans une carte de crédit et faisant office de permis de conduire, donne des informations sur le titulaire de la dite carte aux administrations intéressées…

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