Avant d’aborder le Nürburgring en R300, Pierre Desjardins avait reçu comme avertissement de Soheil Ayari : « Le Nürburgring en Caterham c’est chaud ! ». Une phrase traduisant parfaitement le respect qu’imposent les autos pouvant prétendre au célèbre adage « light is right ». Notamment en raison d’une sécurité passive limitée.

Dans cette catégorie, l’Ariel Atom est l’une des autos mettant le plus en confiance. Au volant l'arceau renvoi un sentiment de sécurité bien agréable. Rien à voir par exemple avec ce qu’on peut ressentir au volant d’une Seven.

D’un autre côté heureusement, car une Ariel ca va vite. Très vite même. Et surtout cette auto, même si elle est relativement facile à prendre en main, demande un minimum de doigté et de métier lorsqu’elle est cravachée. Cette vidéo en est un bel exemple.

Au volant de l’Ariel Atom, le frère du propriétaire qui vraisemblablement ne connaît pas très bien l’auto. Après quelques erreurs de pilotage manifestes, un peu d’optimisme, et une attaque excessive, le drame.

Il en ressort un choc assez brutal à 47 km/h, et au final des dégâts (en apparence) limités comme l’atteste la photo ci dessous. Les prochains repas de famille risquent d’être animés…

Une Ariel Atom, du sous-virage, un mur, le drame

Une Ariel Atom, du sous-virage, un mur, le drame