L'histoire se passe au Chili, sur une sorte de périphérique. Poursuivi par un caméraman amateur qui ne semble pas bien plus malin que lui tant il filme d'une main et conduit de l'autre, un propriétaire de Dodge Viper se trouve bloqué derrière un camion sur la voie de gauche. On se doute de ce qu'il se passe dans sa tête, ce doit être agaçant, surtout quand les voies de droite se libèrent et qu'on aimerait bien faire sonner ces dix grosses gamelles dans les nombreux tunnels. Perdant patience donc, il déboite donc par la droite et écrase la pédale d'accélérateur. Sauf que.

Sauf qu'il faut toujours faire attention à ne pas être ébloui par la soudaine luminosité en sortant d'un tunnel.

Sauf que sur un périphérique urbain, il arrive parfois que les bretelles de sortie soient encombrées par une file de voitures à l'arrêt.

Sauf que la Dodge Viper de première génération nécessitait beaucoup, beaucoup d'humilité de la part de son conducteur. Un V10 de 8,0l développant plus de 400ch ne pardonne pas vraiment l'approximation, surtout quand il est associé à une absence complète d'aide à la conduite, que ce soit un antipatinage ou un... ABS.


Réveil Auto - A retenir : les premières Dodge Viper n'ont pas d'ABS [aïe]

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