Votre navigateur ne supporte pas le code JavaScript.
Logo Caradisiac    
Publi info

Lancia Phedra 3.0 V6 (2002 – 2006), le monospace le plus chic du monde, dès 5 000 €

Quasi-clone des Citroën C8 et Peugeot 807, le monospace Lancia Phedra se distingue par sa présentation plus chic et son exclusivité. En V6, il fait carrément preuve d’un raffinement exceptionnel, aujourd’hui accessible pour une somme dérisoire. Quand on le trouve…

Lancé en 2002 comme ses cousins Fiat Ulysse, Citroën C8 et Peugeot 807, le Lancia Phedra est certainement le plus chic et élégant des quatre.
Lancé en 2002 comme ses cousins Fiat Ulysse, Citroën C8 et Peugeot 807, le Lancia Phedra est certainement le plus chic et élégant des quatre.

Faute d’avoir eu les sous pour industrialiser celui qui est devenu le Renault Espace Peugeot a dû attendre pour commercialiser son propre monospace. Et s’allier avec un géant bien connu : Fiat. Les deux se connaissent bien, puisqu’ils collaborent déjà depuis 1978, ayant créé la Sevel, Societé Européenne de Véhicules Légers.

Lancé en 1994, le Zeta est le premier monospace de Lancia. Il ressemble énormément à ses équivalents Peugeot 806, Citroën Evasion et Fiat Ulysse.
Lancé en 1994, le Zeta est le premier monospace de Lancia. Il ressemble énormément à ses équivalents Peugeot 806, Citroën Evasion et Fiat Ulysse.

Celle-ci produit depuis 1981 les utilitaires Citroën C25/Peugeot J5/Fiat Ducato/Alfa Romeo AR6/Talbot Express dans les Abruzzes, en Italie. En 1988, l’alliance PSA/Fiat préfigurant Stellantis met en chantier un monospace qui sera, lui, produit dans le Nord, à Hordain, dans une ancienne usine Simca. Vendu sous les marques Citroën (Evasion), Fiat (Ulysse),  Lancia (Zeta) et Peugeot (806), ce véhicule familial est présenté en 1994. Si on salue les qualités routières, le confort, le volume et la praticité de ces monocorps, leur esthétique cubique, très peu différenciée entre les différentes marques, suscite bien des critiques.

Apparu en 2002, le Lancia Phedra reprend les soubassements du Zeta mais adopte un museau bien plus singulier. A 0.33, le Cx se révèle étonnamment bon.
Apparu en 2002, le Lancia Phedra reprend les soubassements du Zeta mais adopte un museau bien plus singulier. A 0.33, le Cx se révèle étonnamment bon.

Et pour cause : sur leur base sont dérivés des utilitaires, très appréciés, les Peugeot Expert, Citroën Jumpy et autre Fiat Scudo. Ces critiques sont entendues, et quand, en 2002, apparaissent les remplaçants des quatre monospaces, qui en conservent la plateforme, à quelque chose près, leur esthétique se révèle plus flatteuse et habillée. De plus, ils font un effort notable de différenciation.

Voici, pour comparaison, un Peugeot 807. L'avant, un tantinet agressif, n'a rien à voir avec celui du Phedra
Voici, pour comparaison, un Peugeot 807. L'avant, un tantinet agressif, n'a rien à voir avec celui du Phedra

A ce petit jeu, c’est le Lancia Phedra qui se distingue. Nanti d’une jolie et imposante calandre chromée, monospace italien garnit son habitacle d’Alcantara ou de cuir, selon la configuration. En France, contrairement à son frère turinois Fiat Ulysse, il a même droit au puissant V6 3,0 l. Il ne s’agit pas du bloc d’origine Alfa Romeo monté dans la Lancia Kappa mais bien de l’ES9, conçu par Peugeot avec l’aide financière de Renault.

Un moteur au caractère débonnaire qui correspond bien au tempérament de ce véhicule luxueux mais familial. Développant 204 ch et attelé à une boîte auto à quatre vitesses, il emmène les
1 837 kg du Phedra à 205 km/h, lui faisant franchir les 100 km/h en 10,2 s. Très suffisant pour emmener jusqu’à 8 passagers !

Abonnez-vous à la newsletter de Caradisiac

Recevez toute l’actualité automobile

L’adresse email, renseignée dans ce formulaire, est traitée par GROUPE LA CENTRALE en qualité de responsable de traitement.

Cette donnée est utilisée pour vous adresser des informations sur nos offres, actualités et évènements (newsletters, alertes, invitations et autres publications).

Si vous l’avez accepté, cette donnée sera transmise à nos partenaires, en tant que responsables de traitement, pour vous permettre de recevoir leur communication par voie électronique.

Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement de ces données, d’un droit de limitation du traitement, d’un droit d’opposition, du droit à la portabilité de vos données et du droit d’introduire une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (en France, la CNIL). Vous pouvez également retirer à tout moment votre consentement au traitement de vos données. Pour en savoir plus sur le traitement de vos données : www.caradisiac.com/general/confidentialite/

Le Lancia Phedra s'équipe de très pratiques portes latérales coulissantes actionnées électriquement.
Le Lancia Phedra s'équipe de très pratiques portes latérales coulissantes actionnées électriquement.

En série, la seule finition proposée, l’Emblema, est richement dotée. En effet, elle comprend la sellerie Alcantara, le GPS, les xénons, les sièges chauffants, les portes coulissantes électriques, le régulateur de vitesse, ou encore la clim auto bizone. Les sièges arrière coulissent et s’ôtent, ceux de l’avant pivotent : on peut se concocter un véritable salon ! Et quand on retire tous les fauteuils, on obtient un volume utile colossal de près de 3 m3 ! Evidemment, tous ces raffinements se payent cher : 37 500 €, soit 50 800 € actuels selon l’Insee.

Ici, un Fiat Ulysse de 2003, en configuration six places individuelles, que l'on retrouve sur le Phedra. Tous sièges ôtés, le volume frôle les 3 mètres-cube !
Ici, un Fiat Ulysse de 2003, en configuration six places individuelles, que l'on retrouve sur le Phedra. Tous sièges ôtés, le volume frôle les 3 mètres-cube !

En supplément, on trouve le cuir, les trois toits ouvrants ou encore la configuration à six places individuelles. Malheureusement, dès 2006, le V6 est retiré du catalogue, de sorte que le Phedra ne pourra pas l’associer à ses évolutions ultérieures. Un commentaire valable également pour les Citroën C8 et Peugeot 807. Commercialement, tous ces engins ont été handicapés par un look encore trop typé utilitaire. On peut même se dire que c'est là le souci de bien des monospaces, ce qui a contribué la clientèle à s'orienter vers les SUV, plus flatteurs et rendant des services très similaires...

A l'arrière, le Lancia Phedra adopte des feux et des ailes très similaires à ceux du Fiat Ulysse. Les C8 et 807 sont plus raides questions design ici aussi.
A l'arrière, le Lancia Phedra adopte des feux et des ailes très similaires à ceux du Fiat Ulysse. Les C8 et 807 sont plus raides questions design ici aussi.

Combien ça coûte ?

En très bon état, le Lancia Phedra V6 peut se dénicher à 5 000 €, en affichant 150 000 km environ. Si on n’en trouve pas, les Peugeot 807 et Citroën C8 s’affichent à des montants similaires, mais sans disposer du même raffinement. A 10 000 €, on s’offre un des trois monospaces à un kilométrage de 100 000 km environ.

La sellerie cuir optionnelle du Lancia Phedra, vraiment opulente, s'accorde très joliment avec les revêtements en Alcantara du tableau de bord. Monospace et chic !
La sellerie cuir optionnelle du Lancia Phedra, vraiment opulente, s'accorde très joliment avec les revêtements en Alcantara du tableau de bord. Monospace et chic !

Quelle version choisir ?

Comme il n’y en a qu’une du côté Lancia, opter pour l’exemplaire le mieux suivi. Sur le 807, la finition Pullman, la plus riche, s’impose car elle ne coûte pas plus cher. Le C8 n’est lui, disponible qu’en Exclusive.

Cuir, toits ouvrants, voici des options très intéressantes si on veut s'offrir un Lancia Phedra V6 pour le collectionner.
Cuir, toits ouvrants, voici des options très intéressantes si on veut s'offrir un Lancia Phedra V6 pour le collectionner.

Les versions collector

Ce seront les véhicules en parfait état, les mieux optionnés et les moins kilométrés possible. A 50 000 km, ils sont rarissimes !

Le V6 ES9 du Lancia Phedra (équipant aussi les C8 et 807 mais pas l'Ulysse en France) se révèle très fiable, mais les pépins électriques sont légion.
Le V6 ES9 du Lancia Phedra (équipant aussi les C8 et 807 mais pas l'Ulysse en France) se révèle très fiable, mais les pépins électriques sont légion.

Que surveiller ?

Mécaniquement, le Phedra V6 se montre très fiable, bien plus que ses variantes diesels (idem pour ses cousins français). Seul souci, le changement de la courroie de distribution (tous les 160 000 km ou 5 ans), onéreux à cause du manque de place. On vidangera aussi la boîte avant 100 000 km.

Là où le Phedra pèche, c’est par l’électricité, surtout sur les deux premiers millésimes : panneau de commande de clim défectueux, portes coulissantes en panne (calculateur, actionneur), boîtiers BSI à reprogrammer. On relève aussi des faiblesses de fabrication : chute des panneaux de porte, fuite aux toits ouvrants, stores de portières fragiles…

Des rappels ont eu lieu, et, normalement, tout ceci est rentré dans l’ordre. Mais mieux vaut opter pour un exemplaire dûment suivi. Reste que les pneus s’usent vite, les gommes tendres étant mises à mal par le poids de l’engin.

Confort, raffinement et sécurité caractérisent le Lancia Phedra V6, ici en 2003, sur route. Mais guère le dynamisme.
Confort, raffinement et sécurité caractérisent le Lancia Phedra V6, ici en 2003, sur route. Mais guère le dynamisme.

Sur la route

Dans le Phedra, on est d’abord impressionné par l’espace. Même en configuration 8 places, tous les passagers sont bien installés dans des sièges confortables. De plus, la modularité générale fait honte à tous les véhicules familiaux actuels ! Au volant, on apprécie la position dominante et la commande de boîte surélevée. Il faut s’habituer à l’instrumentation centrale, mais on adore tripoter les parements en Alcantara.

Très agréablement présenté, le tableau du Lancia Phedra se révèle pratique avec sa commande de boîte surélevée. Cela dit, l'instrumentation centrale demande de l'habitude...
Très agréablement présenté, le tableau du Lancia Phedra se révèle pratique avec sa commande de boîte surélevée. Cela dit, l'instrumentation centrale demande de l'habitude...

Au démarrage, le V6 se signale par sa sonorité raffinée : tellement plus agréable qu’un 4-cylindres diesel. Très souple et doux, il procure de belles performances pour ce type de véhicule, malgré une boîte un peu lente, qu’on a intérêt à contrôler manuellement pour obtenir de bonnes reprises.

La tenue de route se révèle très rassurante. Certes, le roulis est prononcé et l’inertie marquée dans les changements d’appui, mais le Phedra s’accroche au sol de belle manière. Pour sa part, la direction se révèle précise et consistante. Cela dit, la suspension apparaît un peu sèche à basse vitesse et à vide. Cela va bien mieux ensuite, le Phedra offrant un confort appréciable, doublé d’une ambiance raffinée. Vraiment agréable sur long trajet ! Si l’on oublie la consommation moyenne, s’élevant à 11,5 l/100 km…

 

L’alternative youngtimer

Lancia Thema SW (1986 – 1994)

Très élégante, la Lancia Thema SW est aussi fort performante avec son V6 3,0 l et son 2,0 l turbo. Ici, une troisième série de 1992.
Très élégante, la Lancia Thema SW est aussi fort performante avec son V6 3,0 l et son 2,0 l turbo. Ici, une troisième série de 1992.

Pour voyager loin en famille, Lancia propose dès 1986 la version break, ou Station Wagon (SW) de sa grande Thema. Transformée par Pininfarina, la Thema SW se signale par sa grande élégance, mais son coffre, s’il se révèle pratique, manque de volume. Heureusement, le tonitruant bloc 2,0 l turbo essence de 165 ch autorise de belles performances. Encore plus après le restylage de fin 1988.

En effet, il adopte une culasse à 16 soupapes boostant la puissance à 185 ch. En 1992, une autre mise à jour intervient, qui introduit notamment l’airbag, et apporte le magnifique V6 3,0 l d’origine Alfa Romeo (175 ch). Pendant ce temps, le 2,0 l turbo grimpe à 204 ch, se complétant d’un viscocoupleur sur le train avant, comme la V6. Ces italiennes, sûres et performantes, délivrent un grand agrément de conduite. Reste à les trouver… Dès 8 000 €.

 

Lancia Phedra 3.0 V6 2003, la fiche technique

  • Moteur : 6 cylindres en V, 2 946 cm3
  • Alimentation : injection
  • Suspension : jambes McPherson, ressorts hélicoïdaux, barre antiroulis (AV), bras oscillants, ressorts hélicoïdaux, barre antiroulis (AR)
  • Transmission : boîte 4 automatique, traction
  • Puissance : 204 ch à 6 000 tr/min
  • Couple : 285 Nm à 3 750 tr/min
  • Poids : 1 837 kg
  • Vitesse maxi : 205 km/h (donnée constructeur)
  • 0 à 100 km/h : 10,2 secondes (donnée constructeur)

 

Pour trouver des annonces de Lancia Phedra, rendez-vous sur le site de La Centrale.

En savoir plus sur : Lancia Phedra

Lancia Phedra

SPONSORISE

Achetez votre Lancia Phedra

En occasion avec La Centrale

Avis Lancia Phedra

Phedra (2) 2.2 JTD 170 DPF DI LUSSO BVA (2008)

Par Breizhouille le 05/08/2015

Voiture pratique, maniable et bien plus facile en ville que ne le fait croire son gabarit visuel, elle est en fait moins longue que bien des berlines et son rayon de braquage est très bon ( si on compare à une Volvo S60 qui est pourtant plus courte par exemple)Difficile de trouver un équipement plus complet : tout y est ! La présentation est flatteuse mais ce n’est que de la poudre aux yeux comme souvent chez Lancia : le volant cuir pèle (comme sur les C8 ou 807, défaut de certaines séries, ce volant fabriqué à Cholet pour Citroën, n’est pas changé en garantie) le mobilier intérieur est fragile (faux alu, plastiques pelants, etc...) le système de navigation GPS autoradio CD/HDD RT4 est peu pratique et peu fiable. La position de conduite, si elle s’avère confortable, a un gros défaut : on a le genou droit en permanence contre la console centrale : pas grave sous régulateur mais pénible ailleurs.Le moteur et la bva n’ont pour ’instant connu aucun problème (encore heureux à seulement 106 000 km) Si la BVA aisin 6 vitesses est trés agréable (la même que sur ma Volvo qui a aujoud'hui 330 000 km sans la moindre avarie moteur et boite) le moteur Peugeot en revanche est plutôt mou, peu agréable et gourmand, on est loin de la maîtrise des 5 cylindres Volvo justement. Il est en fait très typé Peugeot (j’en ai eu plusieurs) pépére, linéaire, limite poussif, heureusement que j’ai choisi le 170 cv. Je suis peut-être difficile car habitué à mieux et que je ne me rends plus compte de ce qu’est un diesel français pour bon père de famille.... bref, bon, pour le programme monospace ou un rageur 5 ou 6 cylindres n’aurait pas sa place ?Le problème est que ce moteur rustique et peu moderne, s’il semble fiable ne maitrise pas sa consommation. Les 2l HDI semblent faire mieux.Sur la route, les suspensions sont un peu dures à mon goût et on sent bien les défauts de la route qui vous baladent dans tout les sens, sur autoroute en revanche, c'est parfait.La fiabilité des portes arrieres coulissantes éléctriques est catastrophique, c’est un gadget inutile que les concessionnaires Peugeot/Citroën ou Lancia ne savent pas réparer (panne aléatoire où ni le changement de moteurs, capteurs et autres contacts ne fait rien...comme je ne veux pas payer tant que ça ne marche pas, je dois me faire à ces fantômes qui ouvrent les portes toutes seules, ou les ferment et ouvrent à l’arrêt...ne rien laisser de valeur sans la voiture, on la trouve parfois ouverte en grand sur un parking !)Attention aussi à la batterie (neuve) qui se vide toute seule en cas d'arrêt prolongé ( plus de 15 jours) fermer à la clef et ne pas utiliser la télécommande. Bref, sur cette voiture fabriquée en France (Cocorico) les gadgets nombreux ne sont pas très au point (un peu façon Laguna !)

Phedra 2.0 JTD EMBLEMA (2004)

Par jlucm le 31/05/2010

Véhicule possédé: Phedra 2.0 JTD 110 ch Emblema d'Avril 2005.Option: cuir integral, jante 16, barres de toit, xénon.Très bon véhicule pour les familles de 3 enfants et plus.Les portes coulissantes électrique, les sièges individuels, la capacité du coffre et la position élevée de conduite sont les points essentiels pour la maman transportant sa 'petite tribu'.Comportement routier sain et agréable. Très bon confort pour long trajet. Le moteur 2 litres diesel 110 ch est suffisant et volontaire pour le gabarit du véhicule. La version 2.2 litres diesel sera encore plus agréable.Tous les organes électrique, mécanique et moteur sont issus du groupe PSA. Le choix d'approvisionnement / réparation est donc tout garage Peugeot/Citroen ou Fiat/Lancia.Quelques soucis inhérents à ces modèles (C8, 807, Ulysse2, Phedra):- rideau fenetre porte arriere qui se déchire,- assise laterale du siege conducteur qui s'affaisse,- plus grave, mauvais joint d'injecteur entrainant leur 'soudure' à la culasse: ne peut plus alors les démonter sans casser la culasse.- plus grave, cas de rupture de courroie de distribution avant l'échéance de remplacement constructeur: point à vérifier sur véhicule d'occasion.commun aux véhicules Peugeot, Citroen- sursauts fantaisistes de l'électronique (sans nécessité de remplacement ni réparation; juste un redémarrage à froid de l'ensemble suffit. Voire aussi une bonne recharge de la batterie),amélioré avec les versions full CAN à partir de fin 2005/2006.- souvent défaillance de la capsule de commande du swirl (sur 2.2 hdi 128 et 2.0 hdi 110),Consommation moyenne du 'camion' actuellement de 7,6 l/100km.Assurance raisonnable.Entretien réduit et raisonnable.Les Phedra sur le marché francais sont très bien équipés d'origine.En mettant les mêmes options/equipements, les C8, 807, Phedra et Ulysse sont dans le même 'mouchoir' tarifaire.

Commentaires ()

Déposer un commentaire