Les couacs de l’euro, suite

Les utilisateurs de l’A8 entre Aix-en-Provence et l’Italie ont eu la désagréable surprise de se voir refuser certaines pièces en euros à face étrangère. Ces euros espagnols, italiens ou monégasques n’auraient pas le poids conforme à cause de l’alliage qui les compose. Les faces différentes arborées par les pièces seraient également à l’origine du problème. L’ESCOTA, la société gestionnaire, essaie de peaufiner ce système qui refuse pourtant jusqu’à 2 % des pièces. Les bouchons ne sont pas près d’être résorbés.