La Murcielago est le premier relais officiel après le rachat de Lamborghini par Audi, et on peut dire que la qualité perçue fait un grand bon en avant dans l'habitacle de l'auto par rapport à ce que l'on a pu connaître chez la marque de Sant'Agata par le passé. Oubliez donc les brutales, inconfortables et capricieuses Countach ou Diablo, la Murcielago passe un cap et est bien plus civilisée que ses devancières.
La première caractéristique importante de cette Murcielago, c'est l'adoption de la transmission intégrale, qui n'est certes pas une nouveauté chez Lamborghini (elle était présente sur la Diablo VT), mais elle est maintenant une norme, qui sera par la suite appliquée sur la Gallardo et Aventador. En revanche, les bonnes habitudes concernant le moteur ne changent pas et on retrouve le V12 Bizzarrini largement remanié. D'une cylindrée de 6.2, ce douze cylindres développe 580 ch et une sonorité complètement dantesque.
Après neuf ans de carrière, la Murcielago laisse sa place au coupé actuel maison, l'Aventador.





















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