Précisons d’emblée que les véhicules mis à disposition par Volkswagen n’étaient, exceptionnellement (le parc de la marque a été récemment touché par la grêle ce qui a entrainé un retard dans la préparation des véhicules), pas rôdés. On ne tirera donc pas ici de conclusions hâtives sur les moteurs.


Comme l’usage le veut pour ce genre de prise en mains, les véhicules étaient chargés de 300 kg, bien arrimés derrière la cabine. Nous avons eu la possibilité d’effectuer un bref essai des versions L3H2 et L2H2 avec la motorisation 136 ch.


On aura plus particulièrement apprécié le niveau sonore en diminution sensible par rapport au 5 cylindres précédent. Sur la version longue, on aura noté une direction un peu trop souple. Mais globalement, sur les deux versions, le bilan dynamique est largement positif, le moteur 136 ch étant sans doute le plus polyvalent de la gamme en attendant l’arrivée programmée début 2012 d’une déclinaison 143 ch.


Le défaut le plus notable qu’il nous a été donné de relever pourrait paraître anecdotique puisqu’il faut s’asseoir et encaisser quelques aspérités de la chaussée pour le débusquer. Car, enfin, le siège suspendu conducteur est réglé trop souple. La moindre aspérité de la route déclenche un mouvement du siège suspendu qui peut devenir désagréable au mieux, limite dangereux à force.