"L’œil perçoit immédiatement les enchaînements de courbes naturelles et élégantes qui dessinent l’habitacle, renonçant à toute agressivité. A l’instar de la "sculpture" extérieur, l’intérieur de la 407 respire la robustesse et la qualité…. L’intérieur est organisé pour que chacun puisse y trouver le plaisir de conduire et le plaisir de voyager dans la convivialité. Par son traité, il évoque le dynamisme perçu à l’extérieur.

Peugeot 407 : "Paroles de constructeur"

La luminosité à bord est saisissante : elle est notamment diffusée par 1,5m2 de pare-brise… Les sièges avant, dessinés de façon ergonomique, participent au confort postural grâce à leur réglage de grande amplitude. A l’arrière, l’absence de tunnel favorise l’habitabilité des passagers…. Source de confort, la bonne insonorisation naturelle de l’habitacle propose une excellente convivialité dans la 407 grâce à une bonne intelligibilité de la parole » entre les passagers avant et arrière… La 407 est aussi dotée de prestations visant à accroître le confort de l’ensemble des occupants. La fonction « follow me home » permet par exemple de maintenir l’allumage des feux de croisement après la coupure du contact et ainsi d’éclairer un chemin ou une porte d’entrée… L’essuyage prend une part importante dans la visibilité. La 407 est équipée d’essuie-vitres papillons aux bras monolames puissants qui disposent chacun de leur propre moteur. Extra-plats, ils restent très discrets et épousent au mieux la courbure très particulière du pare-brise".

Le clin d’œil de Caradisiac

C’est vrai que la ligne de la 407 est plutôt originale. On a dû se demander chez Peugeot si on pouvait ou non qualifier la belle carrément de "sculpture". Arbitrage a été rendu : oui pour "sculpture", mais avec des guillemets. On nous dit aussi qu’en montant dans l’auto, vous serez ni plus ni moins "saisi" par la luminosité. Merci de nous faire part de vos témoignages à ce sujet sur contact@caradisiac.com. On attend beaucoup de vos expériences extra- sensorielles. Quant aux "essuie-vitres papillons aux bras monolames", on apprend qu’ils "épousent au mieux la courbure très particulière du pare-brise". Et si ça avait été le contraire ?