Car on rappellera que l'Union européenne a imposé un abaissement significatif des seuils pour le dioxyde d'azote, soit le NO2, d'ici 2020. Des normes qui, au passage, toucheront aussi les voitures fonctionnant à l'essence immatriculées avant 2006. Et pour y arriver, rien ne vaut une incitation fiscale. Ainsi, Londres songe à imposer aux véhicules Diesel une taxe supplémentaire à l'entrée de son centre. Cette taxe s'ajouterait au péage urbain que doivent déjà payer les automobiles qui est de 14,5 euros.


Un projet qui risque de faire mal puisque l'édile promet une taxe "qui fasse la différence" tout en prévoyant la mise en place en 2020 d'une "zone à ultra faible émission" de polluants dans le centre ville.