Le très mondain Bernie Ecclestone en rêve, lui qui ne tient plus à prendre son bol d’air annuel dans la campagne nivernaise. Quant à la France, au travers sa fédération, elle est sur le qui vive pour garder son épreuve au calendrier de la sainte Formule 1. Et les deux parties commençaient à se rejoindre sur un projet de Grand Prix pas loin de Paris, du côté de Versailles. De quoi satisfaire tout le monde, en principe.
Seulement voilà, Dimanche, les urnes ont parlé. Et ainsi que l’a signalé dans son édition d’hier le quotidien l’Equipe, elles ont mis à mal l’idée d’une épreuve d’envergure aux portes de notre capitale.
Ainsi, le nouvel édile versaillais fraîchement élu, a toujours annoncé dans son programme son opposition déterminée à l’organisation d’un Grand Prix sur son territoire. « Pas de circuit de course automobile de Formule 1 à Versailles » est il clairement exprimé dans ses arguments. Mais plutôt « la création d’un eco quartier à Satoty ». A priori, il va donc falloir chercher ailleurs le nouveau site du futur Grand Prix de France.
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