Avec des prix élevés en neuf (entre 250 000 F et 300 000 F au bas mot), les ventes de Série 7 sont restées confidentielles et les automobilistes ayant réalisé un tel investissement ne sont pas nécessairement pressés de revendre leur "belle". Cependant, tant que la vignette restait applicable aux particuliers (avant 2001), les puissances fiscales élevées des motorisations à essence induisaient un coût de revient prohibitif, sans oublier que la puissance fiscale compte dans les primes de la plupart des assureurs et que la consommation n'est pas négligeable. Autant de composantes qui finissaient tout de même par inciter certains propriétaires de Série 7 à se séparer prématurément de leur voiture, quitte à la brader dans certains cas. Au final, pas vraiment abordables en neuf, les Série 7 s'avèrent assez intéressantes en occasion, sauf pour les moteurs Turbo Diesel dont la puissance fiscale et la consommation sont très raisonnables.