Ferrari a répondu à Niki Lauda, qui a fustigé la "traditionnelle" politique de favoritisme de la Scuderia envers son pilote n°1. Pour Maranello, c’est le monde à l’envers !


Niki Lauda, observateur favori de la Formule 1 pour le média officiel de la discipline, n’hésite jamais à distribuer les bons et les mauvais points. Pourtant ancien pilote de la Scuderia, le triple Champion du Monde a ainsi critiqué le mode de gestion de ses pilotes par le team de Maranello, faisant référence à la victoire aidée de Fernando Alonso lors du Grand Prix d'Allemagne.

Ferrari n’a pas apprécié et n’hésite pas à attaquer son ancien pilote en retour. « Après les évènements d’Hockenheim, une vague d’hypocrisie a balayé le paddock, explique Maranello. Des experts, jeunes et moins jeunes, ont eu envie d’avoir leur mot à dire. Certains ont été remis en place, tandis que d’autres continuent de livrer leur verdict, bon gré mal gré. La dernière attaque vient d’Autriche, d’une personne qui, ayant raccroché son casque, n’a jamais manqué une occasion de donner son avis à droite et à gauche. Plus d’une fois, il a dû se livrer à des acrobaties verbales afin de se replacer dans le sens du vent. »

« Cette fois, le bon vieux Niki a perdu une belle occasion de se taire, poursuit Ferrari, étant donné que, quand il était pilote de la Scuderia, la supposée politique de gestion de la Scuderia lui convenait parfaitement. » En outre, l’écurie italienne estime être critiquée durement, là où certaines équipes ne font pas différemment mais plus discrètement. Jugée par le Conseil Mondial du Sport Automobile le 8 septembre, Ferrari attend la décision de la FIA avec sérénité.


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Ferrari tacle Niki Lauda