Comment peut-on prétendre trouver cette FF laide après avoir observé cette nouvelle séquence officielle, montrant la nouvelle grande 2+2 dans des cadres aussi variés que la poudreuse des montagnes pyrénéennes, le sable des Emirats Arabes Unis ou les structures urbaines de Barcelone ou encore la pluie d'une petite route tortueuse ?
Comment ne pas être impressionné par la radicalité de cette nouveauté, unique par ses proportions, par la personnalité de ses lignes et même par sa fiche technique en forme de révolution chez Ferrari. N'est-elle pas de celles qui laisseront une empreinte particulière dans l'histoire de la marque italienne ?
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