
La firme au blitz Opel est fière d'annoncer que les premières unités de la seconde génération de la grande berline Insignia Grand Sport sortent de l'usine de Russelheim en Allemagne. Le break Sports Tourer suivra fin 2017.
La firme au blitz Opel est fière d'annoncer que les premières unités de la seconde génération de la grande berline Insignia Grand Sport sortent de l'usine de Russelheim en Allemagne. Le break Sports Tourer suivra fin 2017.
Le rachat d’Opel par PSA a peut-être ouvert la voie à d’autres fusions ou absorptions dans le monde de l’automobile. Parce que certains constructeurs sont plus fragiles que d’autres. Parce qu’après deux années de bons bénéfices, certains disposent du cash suffisant pour en racheter d’autres. Et parce que l’avenir et les nouvelles mobilités plaident pour une concentration des marques.
La vente d’Opel à PSA est le dernier épisode en date des aventures de General Motors en Europe. Une histoire qui, depuis presque trente ans, se solde systématiquement par des déconvenues. Des alliances, des rachats et des incursions qui, de Fiat à Saab en passant par Chevrolet, se sont toujours soldés par des échecs. Saga d’un manque de bol.
Ce matin, au siège de Peugeot–Citroën, Mary Barra et Carlos Tavarès ont officialisé leur relation. Le président de PSA rachète Opel et Vauxhall, propriété de General Motors depuis 1929 pour un montant total de 2,2 milliards d’euros. Caradisiac s’est invité à la cérémonie de mariage.
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L'issue des négociations entre le groupe français et General Motors ne faisait aucun doute, mais cette fois c'est officiel : Opel et Vauxhall rejoignent PSA. Une opération de 2,2 milliards d'euros qui donne naissance au deuxième constructeur européen.
Peugeot qui rachète Opel, cocorico, tout le monde est content, des analystes aux gouvernements en passant par la Bourse. Sauf les syndicats, forcément. Faut-il être enthousiaste ? Croire que l'addition de deux poids moyens fera un poids lourd et permettre de dépasser le point mort ? Ou craindre le poids mort ?
Tout se termine bien. Les différents protagonistes du rachat d’Opel par PSA n’y voient plus d’inconvénients. L’affaire devrait être bouclée rapidement et annoncée dans les prochains jours. Pourtant, la stratégie mise au point a été bousculée par des fuites. Et l’hostilité des autorités allemandes à l’annonce du rapprochement ressemble plus à une posture qu’à une véritable incrédulité. Retour sur les quelques jours durant lesquels Carlos Tavarès a éteint les incendies.
Au menu cette semaine : un cap symbolique chez Toyota, des constructeurs qui simplifient notre quotidien ou encore un logo de Tesla qui n'a été au goût d'un équipementier sportif.
Le candidat socialiste vient de publier sa déclaration de patrimoine. Au chapitre automobile, un seul véhicule est mentionné, une ancienne Corsa achetée 10 000 € il y a plus de dix ans.
La presse allemande relaie sans exception la stupeur du côté du gouvernement allemand qui ne cache pas son agacement d'avoir été mis à l'écart du secret des négociations entre PSA et General Motors. Les employés d'Opel, qui pourrait être acquis par le groupe français, sont eux aussi dans l'expectative avec une grande inquiétude générale dans les rangs du constructeur à l'éclair.
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