
L'INFO DU JOUR - Le pétrolier saoudien a enfin pris une participation dans Horse, l'entité de Renault destinée aux moteurs thermiques. Une prise de captal moins importante que prévu. Explications.
L'INFO DU JOUR - Le pétrolier saoudien a enfin pris une participation dans Horse, l'entité de Renault destinée aux moteurs thermiques. Une prise de captal moins importante que prévu. Explications.
250
BILLET D'HUMEUR. Si le séisme provoqué dimanche soir rebat les cartes politiques françaises et européennes, elle pourrait également changer la donne en matière de transition vers la voiture électrique dans l'Union, et modifier les usages français sur la route. Pour le meilleur ou le pire ?
Malgré les difficultés passagères et inévitables quand une telle révolution s’opère dans les mobilités du quotidien, rien n'arrêtera plus la transition vers le « zéro émission ». Voici pourquoi.
MIDI PILE. La marque au Losange s'apprête à céder une partie de sa collection d'art contemporain, suscitant la colère d'artistes qui crient à la trahison.
L'un dirige le groupe Renault, l'autre est à la tête de Stellantis. Mais si Luca de Meo gagne un peu plus de 5 millions d'euros pour l'exercice 2023, Carlos Tavares peut compter sur un matelas de plus de 36 millions. Une différence qui correspond à des résultats certes incomparables. Sauf que tous deux ont dû affronter la fronde de 30 % de leurs actionnaires qui ont quelques reproches à leur faire.
Simultanément, les deux groupes ont dévoilé leurs résultats trimestre ce qui concerne Renault, et leurs prévisions annuelles pour Nissan. Et si ce dernier accuse un coup de moins bien, le Français se porte parfaitement bien. Une situation inversée par rapport à ce qu'elle était il y a quelques années encore.
Auditionné par le Sénat, le Président du conseil d'administration du groupe Renault a répété que le losange basculera bien dans le tout électrique d'ici 2030, ce qui ne sera pas le cas de toutes les marques du groupe.
Dans une lettre ouverte, Luca de Meo exhorte le futur parlement européen à accompagner l'industrie automobile dans les défis énergétiques à venir. Le directeur général du groupe Renault plaide notamment pour le développement de petits véhicules électriques accessibles inspirés des Kei Cars japonaises.
Les deux constructeurs japonais ont décidé de s'allier pour partager une future plateforme électrique. Les prémices d'une nouvelle super-Alliance ou plutôt une uniformisation à venir de l'automobile si Renault, Volkswagen, Nissan et Honda partagent tous une même mécanique ?
Renault veut devenir le champion de la livraison du dernier kilomètre. A cette fin, il s’associe au groupe Volvo et à l’armateur CMA-CGM, avec pour objectif le lancement d'une gamme de petits utilitaires électriques "made in France" dès 2026.
SPONSORISE