L'ADN est utilisé de plus en plus régulièrement par la police. Après la recherche de violeurs et des meurtriers, les forces de l'ordre viennent aujourd'hui de se servir de ce dispositif pour démasquer un homme qui avait dégradé un radar automatique près de Pauillac en décembre dernier.

Les enquêteurs ont retrouvé à proximité une empreinte ADN qu'ils ont ensuite envoyée au fichier national des empreintes génétiques qui a identifié une personne qui était déjà dans la base depuis sa mise en examen dans une affaire de proxénétisme.

L'homme convoqué a reconnu les faits. Avant même de passer au tribunal, l'homme s'est engagé à payer 1.180,72 euros à la Sagem, société exploitante du radar mais il reste toutefois passible d'une peine de trois ans d'emprisonnement.