
C’est une situation qui perdure avec de fâcheuses conséquences pour le citoyen lambda. Rejoindre un des deux aéroports parisiens pour s’en aller retrouver les siens, et jouir, avec eux, des fêtes de Noël après une dure période de labeur, s’annonce en effet compliqué. Car les VTC sont toujours en colère et regrettent un régime général d’activité qui est pourtant le fondement même de leur existence. Sinon, ils seraient des taxis. Pendant ce temps, Uber, qui est la cible principale, campe sur ses positions tandis que l’État se demande ce qu’il pourrait bien faire pour sortir de cette galère.