Essai - Chevrolet Avalanche : la déferlante américaine arrive...

Vous ne pensiez tout de même pas que Chevrolet allait mettre autre chose qu’un V8 dans l’Avalanche ? On retrouve ici donc un V8 5.3, comme d’habitude coupleux à souhait et silencieux… à tel point que l’on se demande si il tourne quand on roule à 130 km/h sur autoroute ! Sur ce point, le confort que procure le V8 est en parfait accord avec la souplesse générale du châssis. L’Avalanche met à l’aise. Les 310 chevaux et les 460 N.m du moteur sont bien nécessaires pour mouvoir l’engin, et si la sonorité est évocatrice à l’accélération, l’Avalanche n’est pas dans son élément pour les sprints. Il est fait pour le cruising, pour chouchouter son conducteur et ses passagers, bref, il est idéal pour les longs trajets. Petit point positif supplémentaire, le moteur désactive 4 des 8 cylindres quand il n’est pas sollicité, qui a dit que les américains ne faisaient pas d’efforts pour réduire la consommation et lutter contre la pollution?