Rouler en Avalanche en quotidien fera de vous un marginal, c’est évident. D’ailleurs, tout un tas de questions subsidiaires concernant son utilisation vous viennent à l’esprit. Comment se garer avec et pourquoi un si grand volume ?

Essai - Chevrolet Avalanche : la déferlante américaine arrive...

Au sujet de son utilisation tous les jours, il faut reconnaître que nous avons été agréablement surpris lors des manœuvres. Pour arriver à notre route d’essai, nous avons dû emprunter des routes très étroites dans Versailles sans que cela ne pose de souci. Evidemment, si quelqu’un se gare un peu de travers, il aura perdu un rétroviseur… Mais dans l’ensemble, le rayon de braquage et la visibilité que l’Avalanche offre en font une voiture utilisable quasiment au quotidien. Quasiment, car avec ses 5,63 mètres de longueur, inutile d’essayer de rentrer intégralement dans une place de stationnement !

Parlons maintenant de la modularité. Avec son ingénieur système de compartiment, il vous sera possible de libérer un volume de coffre de 55 centimètres sur 1,27 mètres… sur 3,15 mètres ! C’est simple, vous avez quelque chose à charger : ça rentre. Si avec ça votre chère et tendre a du mal à caser toutes ses affaires de voyage pour un week-end au bord de la mer, changez… en.

Essai - Chevrolet Avalanche : la déferlante américaine arrive...
Essai - Chevrolet Avalanche : la déferlante américaine arrive...

Mettons nous enfin à la place du passager, c’est simple, tout le confort est disponible. Si on oublie les plastiques habituels, et la fausse ronce de noyer, on retrouve une climatisation bi-zone, tout comme la radio (une à l’arrière une à l’avant !), et un confort réellement plaisant. Notre version était la LTZ, la plus luxueuse. Rien à redire car on se sent même mieux que dans un X5 pour reprendre la comparaison. On rajoutera en plus une multitude de réglages de siège, à mémoires, bref, l’Avalanche est aussi raffiné qu’agréable à utiliser.