Lorsque l’on recense 17 millions d’habitants et quelque 8,5 millions de véhicules dans ses rues qui prolifèrent chaque jour de 1 400 nouveaux engins, on est forcément une cité en proie à la pollution atmosphérique. C’est exactement le cas de la capitale de l’Inde New Dehli. Mais, là-bas, aucune mesure n’a franchement été élaborée pour préserver un tant soit peu la qualité de l’air. De fait, cette ville est considérée comme la plus atteinte au monde par la toxicité de l’air ambiant. Mais les choses vont changer.