La Nissan GT-R R35 n'est généralement pas vénérée par les fans les plus anciens qui lui préfèrent les versions antérieures de Skyline, R33 ou R34. Mais généralement dès qu'ils prennent le volant d'une R35, les opinions changent. À tel point que certains n'hésitent pas à sortir ensuite leur bistouri.
On commence à connaître par cœur la Nissan GT-R, cette sportive japonaise à la fiche technique intéressante et aux performances surnaturelles. On le sait, l'auto présente de très bonnes prédispositions au circuit. Nous vérifiions cela il y a quelques jours à peine sur le Circuit Paul Ricard dans le cadre du Club Nissan Elite, même si l'auto gagnerait à être équipée de freins plus endurants et à peser quelques kilos en moins. Certes, la Spec-V est là pour ça mais il existe encore plus radical pour l'arsouille sur circuit.
La Nissan GT-R est le mythe automobile le plus récent de l’histoire. Pas d’encensement éhonté et partial, juste un constat froid. Le coup du chrono extraterrestre réalisé sur le Nürburgring a fait exploser la GT-R aux yeux du monde qui découvrait là une rivale plus que sérieuse aux Porsche 911 Turbo, moitié moins chère ! Le cas GT-R est donc très souvent l’occasion de parler de … Porsche, comme si leur destin était intimement lié. À l’image de cette concurrente, les propriétaires de GT-R commencent à se réunir en club pour aller se frotter à la piste, histoire de voir ce qu’elle a vraiment dans le ventre. Nous étions à la première sortie du nouveau club Nissan Elite sur le circuit Paul Ricard.
On connaît bien les capacités de la Nissan GT-R à enflammer les feuilles de chronos du Grand Nürburgring. En revanche, on connait moins sa propension à s'enflammer tout court. Un fait divers étrange vient en effet de toucher la grosse sportive japonaise sur le continent américain.
Lors d'un précédent Réveil-Auto, Cédric Pinatel nous présentait une première vidéo d'un run entre une Bugatti Veyron et une paire de Nissan GT-R, une Switzer P800 et une seconde pas moins feignante préparée sur mesure, en voici la version
Rien ne vaut une bonne vieille drag race pour départager deux sportives en ligne droite. C'est simple à faire, c'est très amusant à effectuer et en plus, ça permet quelques comparaisons intéressantes. Et dans ce domaine, un véhicule semble particulièrement se distinguer face à ses concurrentes. La Koenigsegg CCR Evolution ridiculisait récemment une modeste Lamborghini Gallardo, puis une Corvette ZR1 tout de même un peu plus lourdement armée sur le papier. Voyons maintenant ce qu'elle vaut face à un autre épouvantail de la discipline, la Nissan GT-R revue et corrigée par Switzer.
La Nissan GT-R, ça fait déjà quelques années qu'on en mange à toutes les sauces, qu'il s'agisse d'aller établir un chrono canon sur la Nordschleife ou plus simplement, d'humilier certaines concurrentes européennes sur circuit. Ses concepteurs avaient annoncé que l'auto serait conçue comme un produit évolutif tout au long de sa carrière : après une toute petite augmentation de la puissance à 485 chevaux au lieu de 480, on parle maintenant d'un nouveau palier pour la prochaine version de la sportive japonaise.
Pour être très précis, le titre serait plus juste comme ceci : Robert Kubica à Monaco : une première ligne, une Nissan GT-R, un podium. Car en effet, c'est bien samedi soir que le polonais a pris les clés de sa Nissan GT-R « de fonction » à l'Hôtel Metropole de la Principauté, quelques heures après son superbe second temps des qualifications du Grand Prix.
La barrière fatidique des 276 chevaux n'est plus qu'un lointain souvenir au Japon en matière de sportives d'exception. Le drift c'est sympa, mais au pays du soleil levant on prend maintenant aussi beaucoup de plaisir à humilier les meilleures sportives occidentales à leurs propres jeux. L'onde de choc GT-R n'a toujours pas fini de faire trembler les références les mieux établies et Toyota lance à son tour son ultra-sportive, dans un genre bien plus alto. Une confrontation entre les deux japonaises les plus teigneuses s'imposait naturellement, elle vient justement de se tenir aux Etats-Unis.
Il aura failli passer inaperçu, ce rappel sur une des supercars les plus en vue du moment. Pourtant, il s'agit bien, sur une partie de la production, de remplacer carrément le bloc moteur et ses périphériques (radiateur d'huile), suite à un risque de casse. Pas rien ! Alors Nissan, contacté, se montre rassurant et explique que c'est une campagne de sécurité proactive (comprenez préventive). Mais sur les forums, on parle au contraire de casses inexpliquées, qui ont conduit à cette action aussi discrète que musclée.
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