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Coronavirus : un trafic routier qui baisse de façon très inégale entre les villes

Un an après le premier confinement, Waze publie un bilan chiffré de l’évolution des déplacements des Français. On constate à cette occasion que les consignes sont plus ou moins bien appliquées selon les villes, même dans les zones réputées à risque sanitaire élevé.

Coronavirus : un trafic routier qui baisse de façon très inégale entre les villes

Waze, le GPS communautaire qui compte plus de 14 millions d’utilisateurs en France, publie un bilan de l’évolution de la circulation un an après le début de la pandémie, qui avait entraîné un premier confinement le 17 mars 2020.

Le 22 mars 2020, la circulation avait ainsi baissé de 92% à Paris, et de 93% à Lille, Lyon et Toulouse (chiffres établis par rapport à une période de référence courant du 11 au 25 février 2020).

Il avait ensuite fallu attendre la mi-juin pour retrouver un niveau de circulation normal, après quoi on avait pu observer des pics de circulation dans des villes de la moitié sud, à la faveur des migrations estivales (+55% à Marseille le 11 juillet, +34% à Bordeaux et + 64% à Lyon le 14 juillet).

Le deuxième confinement, à partir du 29 octobre, avait connu des baisses moins spectaculaires du fait de conditions moins restrictives. Si le trafic avait baissé de 50% à Lille le 30 octobre, on n’avait pas dépassé les -38% à Paris ou les -30% à Marseille.

En mars 2021, un an après le premier confinement, les niveaux sont quasiment revenus à ceux de février 2020. Le 8, cela baissait de seulement 3% à Toulouse et de 14% à Paris. Mieux (ou pire), les chiffres étaient même en augmentation de 18% à Marseille.

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Depuis le 20 mars 2021, alors qu’une nouvelle attestation est re-devenue obligatoire pour se déplacer durant la journée dans les 16 départements concernés par le confinement (en plus du couvre-feu national entre 19h et 6 h du matin), les statistiques n’ont rien de très spectaculaire.

Si à l’échelle du pays la circulation a effectivement décru de 39 et 27% le week-end des 20-21 mars, le chiffre était remonté à -3% le lundi 22. Et dans le détail par ville, on constate que si cela baissait de 22 % à Paris, de 16% à Lille, de 9% à Toulouse, de 5% à Bordeaux et de 3% à Lyon le lundi 22 mars, le trafic augmentait de 22% à Marseille, où les consignes venant de Paris peinent manifestement à être admises.

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