
Qu’on se le dise, les Chinois n’ont pas simplement l’ambition de placer leurs capitaux dans des noms connus de l’industrie pour se donner un genre ou une quelconque légitimité. Ce n’est pas qu’une question d’image et cette volonté apparaît notamment dans le secteur automobile. On sait que la reprise de Saab n’a pas été pour la bagatelle depuis que l’on a appris l’arrivée de millions d’euros pour des projets industriels. Il en va de même pour l’enseigne Volvo dont le propriétaire Geely pense sérieusement à faire rouler ses prochains véhicules au méthanol.