
Un sondage mené par le comparateur d’assurance Hyperassur révèle que 75 % des Français ne savent pas si oui ou non leur assurance les couvre en cas de sinistre.
Un sondage mené par le comparateur d’assurance Hyperassur révèle que 75 % des Français ne savent pas si oui ou non leur assurance les couvre en cas de sinistre.
Il ne serait pas étonnant que le gouvernement se décide à supprimer l'envoi des lettres simples pour informer d'un retrait effectif ou d'une restitution de point(s). Des parlementaires œuvrent en coulisses pour cette disparition, ce qui permettrait à l'État, selon les calculs officiels, de gagner quelque 13 millions d'euros par an. Si l'information concernant les retraits de points étaient toujours facilement accessibles en préfecture et si les contestations les concernant étaient accueillies avec un peu plus de souplesse et de tolérance, cette évolution pourrait d'ailleurs paraître acceptable dans ce contexte de contrainte budgétaire. Mais compte tenu de la situation qui se dégrade pour les automobilistes qui souhaitent obtenir des informations détaillées sur leur permis de conduire, ce serait un nouveau coup porté à leurs droits de défense.
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Officiellement, c'était à partir du samedi 7 novembre 2015 qu'il était possible de demander par Internet, et non plus uniquement par un courrier postal, la communication de la photo prise par un radar, à la suite d'un contrôle automatique, qu'il s'agisse d'un radar de vitesse ou d'un feu rouge. Pour finir, le service a été activé avec deux semaines de retard. Mieux vaut tard que jamais ! Caradisiac fait le point sur cette nouveauté, dans un premier temps retardée. Polémique, débat, nouvelle loi, Caradisiac clarifie la situation dans sa rubrique « Question de droit ». Avec la collaboration de Maitre Caroline Tichit, avocate spécialisée dans la défense des conducteurs.
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Ça y est, depuis une semaine, il est possible de contester une amende radar par Internet, et non plus seulement par courrier. Qu'est-ce que cela change pour les présumés contrevenants ? Est-ce vraiment gratuit ? La procédure est-elle vraiment
L'une des idées du ministre de l'Intérieur pour faire baisser le nombre de morts sur les routes, c'est de déployer davantage de radars feux rouges et surtout de les équiper d'un module de contrôle de vitesse. Juridiquement parlant, les radars
Polémique, débat, nouvelle loi, Caradisiac clarifie la situation dans sa rubrique « Question de droit ». Avec la collaboration de Maitre Caroline Tichit, avocate spécialisée dans la défense des conducteurs.
C’est une application qui ne prétend pas de faire des miracles mais plutôt faciliter les préliminaires. Comme une étude préalable du dossier, gratuite, avant une possible action, ensuite. La technique le permet et deux avocats ont décidé d’en passer par là ce qui ne fait pas sourire les confrères concurrents. Voici l’application Flash Avocat qui veut révolutionner le conseil juridique dans le domaine du droit routier. Pas moins !
Vous avez une question concernant vos droits par rapport à un PV, votre assurance ou tout autre sujet lié à votre véhicule, demandez notre avis, Caradisiac vous répond dans sa rubrique « Vos questions – Nos réponses ».
Vous avez été verbalisé, vous avez contesté un PV, demandez notre avis, Caradisiac vous répond dans sa rubrique « Vos questions – Nos réponses ».
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Le plan de 22 mesures dévoilé par Manuel Valls ce vendredi matin, lors de la tenue du Conseil Interministériel de la Sécurité Routière (CISR), contient plusieurs surprises. Bien sûr, les radars automatiques sont de nouveau au cœur de la politique du gouvernement censée réduire la mortalité routière. Il y aura 500 dispositifs supplémentaires en trois ans, mais aussi et surtout des milliers de radars-leurres, afin de multiplier par quatre le nombre de zones couvertes par le contrôle automatisé. Des annonces très fortes, qui feront à n'en pas douter polémiques, concernent aussi la manière d'effectuer ces contrôles, puisque la conduite des mobiles-mobiles sera confiée à des prestataires privés. Quant aux patrons qui refuseraient de dénoncer leurs salariés, ils pourraient écoper d'une amende de 650 euros. Une mesure toutefois qui, selon nos informations, aura bien du mal à passer juridiquement. Revue de détail.
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