Je ne voudrais pas qu’une méprise s’installe en plein centre d’un mauvais vaudeville et je ne souhaiterais pas que la paranoïa dépasse les bornes de nos sens communs. Lors donc j’aime Opel, la marque Opel et ses modèles. Et en disant cela, je donne quelques exemples. J’aime la nouvelle Opel ADAM à laquelle je suis prêt à rendre tous les attributs qu’elle réclame y compris ses plus simples majuscules dont je ne vois vraiment pas ni à quel titre ni en quel honneur je pourrais la priver.
Ces présentations et autres précautions d’usage étant prises (ah oui, mes excuses aussi à ceux qui se répandent en commentaires pour expliquer à quel point j’écris mal, que je ne sais pas écrire : et qu’ils arrêtent ici leur lecture de ce MC), entrons dans le vif du sujet.
En début d’année, je vous avais annoncé une mutation de Minuit chicanes consistant en des invitations adressées à des écrivains, des artistes, des critiques, des chercheurs, des « tout ce que vous voulez ». Carlos Tavares, le boss
Comme promis jeudi soir dernier, voici le deuxième volet du Minuit chicanes intitulé « Si on vous donnait une Ferrari 458 Italia, qu’en feriez-vous ? ». Et comme annoncé vendredi soir dernier, je vous propose de participer au projet d’une exposition qui se déroule actuellement au centre d’art 360 m3 de Lyon.
Il est vingt-deux heures, l'heure de sortir des chantiers battus.
Il est vingt-deux heures et un anonyme nous a adressé ces lignes suite au Minuit chicanes du jeudi 29 mars dernier. Nous les avons reproduites en intégralité.
Si Volkswagen réussit à imposer commercialement sa Up ! (sous toutes ses déclinaisons), ce qui reste encore à démontrer, Volkswagen aura réussi par la même occasion le hold-up du siècle (le nôtre, début XXIè) et une nouvelle démonstration de l’art de fabriquer de la fausse monnaie en grande série !
Un message venu d’ailleurs, dans l’un des commentaires à l’adresse de cette news : https://www.caradisiac.com/LAMBORGHINI-MURCIELAGO-46054.htm.
Il fallait bien que, cette semaine, Minuit chicanes dérape grave. Il se trouve que cela arrive en fin de semaine.
Ce soir c’est facile les doigts dans le nez je n’ai pas eu de titre à trouver sauf une rime (à trouver) au cœur même de cette phrase première.
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