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Les normes antibruit ont eu raison des musiques des moteurs thermiques, contribuant à banaliser un peu plus l’objet automobile. Du moins, aux oreilles des passionnés…

Elle était, à son époque, la voiture de série la plus rapide au monde, sans pour autant que le record ne soit attesté. En revanche, le chef-d’œuvre aux portes papillons de l'étoile a participé à un autre exploit, dûment homologué : celui d'un cycliste qui a roulé à 204,778 km /h derrière elle.

Les autos des années 80 et 90 sont à la mode et les maisons roulantes n'échappent pas à cet engouement. Pourtant, les raisons de cette folie du vintage sont plus à chercher dans des tarifs attractifs que dans la nostalgie. Mais attention aux déconvenues.

Si la Jaguar XK 120 est la première auto de série à franchir la barre des 200 km / h. Une auto de course a dépassé cette vitesse exactement quarante ans avant l'Anglaise. La Benz 200PS, surnommée  "Blitzen Benz" et sa cylindrée de 21,5 l ont atteint les 200 km/h, et même plus, en 1909.

Plus appréciées pour leurs puissants 6-cylindres que leur ligne tronquée, ces deux allemandes profitent aussi d’un bien pratique hayon. De plus, il s’agit de propulsions peu onéreuses, alors pourquoi se priver ?

Dans le pavillon 3 du salon Rétromobile se trouvent les voitures achetables par le commun des mortels : elles sont (souvent) à moins de 25 000 €. Il y a moyen de se faire plaisir !  On peut s’offrir la reine des roadsters des 90s, la Mercedes SL R129, ici en 300.

Dans le pavillon 3 du salon se trouve un espace dédié aux anciennes à moins de 25 000 €. Toutes ne sont évidemment pas les affaires du siècle, néanmoins, nous en avons dégotté quelques-unes qui méritent le détour des passionnés. Et les prix sont négociables...

Mercedes met cette année à l’honneur l’une de ses plus belles voitures jamais produites, la 300 SL. Un prototype de course et trois roadsters s’offrent aux visiteurs… puisque ces trois dernières sont à vendre.

Cachant un moteur arrière sous sa carrosserie aérodynamique, la petite 130 incarne la première descente en gamme notable de Mercedes, qui cherche en 1934 à s’adapter à une société en forte crise économique. La 130 se signale par une architecture évoquant assez précisément celle de la Volkswagen, apparue 4 ans plus tard…

Rapides, confortables, luxueuses et dotées de beaux moteurs, ces grandes routières représentent aussi l’apogée de la qualité germanique avant la décrépitude des années 2000. Et devinez quoi ? Elles ne coûtent pas très cher, pour le moment…