
Dans l'affaire Renault qui a viré du rayon espionnage à celui d'escroquerie, Dominique Gevrey, un responsable de la sécurité du groupe, est le seul mis en examen, accusé de mentir sur son statut d'intermédiaire entre Renault et une source mystérieuse détenant des preuves de l'espionnage des 3 cadres. Jusqu'à présent, il refusait de donner le nom de sa source aux enquêteurs, on apprend aujourd'hui qu'il vient de livrer un nom.