
Les États-Unis ne sont plus un eldorado pour les marques européennes. Elles vont devoir s'adapter aux tarifs syndicaux, et voient leurs ventes baisser dans un pays pourtant essentiel à leur chiffre d'affaires.
Les États-Unis ne sont plus un eldorado pour les marques européennes. Elles vont devoir s'adapter aux tarifs syndicaux, et voient leurs ventes baisser dans un pays pourtant essentiel à leur chiffre d'affaires.
Alors qu’on évoquait récemment une alliance entre Volkswagen et Renault sur la conception de leurs futures micro-citadines électriques à bas prix, le constructeur allemand pourrait préférer se débrouiller sans les Français.
Ils redoutent les sanctions européennes envers la Chine car ils ont peur des représailles. Dans le même temps, ils accueillent les marques de l'empire du milieu dans leur capital, voire dans leurs usines, tout en redoutent la main mise de ces marques sur notre marché. Les constructeurs sont pris entre deux feux, tous aussi dangereux.
On se penche souvent sur les chiffres de vente du marché français, et quelquefois sur ceux du marché européen. Mais plus rarement sur les chiffres du marché mondial. Et ce classement réserve tout de même quelques surprises, la première d'entre étant d'y découvrir des noms de marques parfaitement inconnus de nous, européens. Reste que Toyota domine toujours de la tête et des épaules
Le drame de Baltimore, ou 7 ouvriers travaillant sur le pont qui s'est effondré ont disparu, pourrait avoir de lourdes conséquences sur les importations de voitures européennes et asiatiques en Amérique du Nord. Car c'est par ce port, le premier en matière d'automobile, que transitent, chaque année, plus de 800 000 unités.
Coup sur coup, les deux entreprises emblématiques allemandes se sont fait évincer dans le sponsoring de l'Euro 2024 qui se joue sur leurs terres. Adidas est remplacé par Nike et, surtout, le Chinois Byd prend la place de Volkswagen.
Si les résultats 2023 sont bons pour Volkswagen, le groupe augure d'un coup de moins bien l'an prochain. La faute à qui ? Pas vraiment aux constructeurs chinois ou aux erreurs de stratégie, selon les dirigeants, mais aux conflits en Russie comme au Moyen-Orient, et aux médias qui auraient malmené le constructeur, Étonnantes explications.
Les deux constructeurs japonais ont décidé de s'allier pour partager une future plateforme électrique. Les prémices d'une nouvelle super-Alliance ou plutôt une uniformisation à venir de l'automobile si Renault, Volkswagen, Nissan et Honda partagent tous une même mécanique ?
Luca de Meo invite ses concurrents, et les États européens, à rallier son panache blanc et à s'unir contre les constructeurs chinois et leurs velléités de fondre sur le vieux continent. Un fantasme ou une action possible ?
Volkswagen indique que des modèles destinés au marché chinois ont été revendus en Europe et notamment en France. Problème, ils ne sont pas homologués, la garantie et l’entretien ne sont pas non plus pris en charge par le réseau de la marque.
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