Parmi ces nouveaux noms qui font irruption dans le monde de la voiture, il y a notamment Microsoft et Google. Le 15 juillet dernier, c'est le moteur de recherche qui s'est affirmé dans le secteur des moteurs par ailleurs de moins en moins à combustion. Car Google échafaude son plan de bataille en vue de la conquête du théâtre d'opération de la voiture connectée. Et quoi de mieux pour apprendre le milieu que de recruter un de ses anciens généraux ? L'enseigne a donc enrôlé un certain Alan Mulaly, qui n'était autre, jusqu'à présent, que l'ancien directeur générale du constructeur Ford.


Preuve que ça bouge dans le milieu, le même Mulally avait été approché par Microsoft qui l'aurait bien vu comme patron. Mais c'est finalement au conseil d'administration de Google que le ponte de 68 ans entrera. Un élément clé pour Google qui s'ancre aussi chez les ordinateurs et les smartphones. Quant à l'automobile, Google a montré l'étendue de son intérêt en montrant au monde son prototype électrique totalement autonome et sans la moindre commande. Mais transportant en toute sécurité ses passagers qui lui auront au préalable indiqué leur destination par le biais d'une application mobile.


A ce propos, Google veut généraliser, chaque fois qu'il en aura l'occasion dans un secteur d'activité, son système d'exploitation Android. Le groupe a ainsi dans son catalogue l'Android Auto, qui permet de synchroniser l'écran de son téléphone mobile avec un tableau de bord et d'avoir accès à des applications comme la musique et les sms par commande vocale. Demain, il faut s'en convaincre, la tenue de route ou l'agrément moteur d'une voiture ne seront plus que des notions partagées par des Youngtimers.