La Picanto reste fidèle à sa philosophie de citadine en ne proposant que des motorisations essence. Le petit 3 cylindres 1.0 de 69 ch, reconduit sur cette seconde génération, fait office d’entrée de gamme. Une offre intéressante pour votre porte monnaie, puisqu’en prime d’afficher une consommation réduite (4,2l/100 km) selon Kia, il bénéficie d’un bonus écologique de 400 €, avec des émissions abaissées à 99g de CO2/km, une fois associé au Stop & Start.

Nous avons choisi de tester le quatre cylindres 1.2 de 85 ch. Egalement associé au Stop & Start (option à 200 €) il voit ses émissions descendre à 105 g de CO2/km et bénéficie également d’un bonus de 400 €. Tonique et discret, il est le compagnon idéal pour circuler en ville. A ses côtés, la Picanto jaillit de la circulation en cas de besoin et se montre souple lorsqu’il s’agit de pratiquer l’art du bouchon. Notre essai 100% urbain dans un Berlin embouteillé, nous aura coûté en moyenne 5,6 l/100 km. Une Boite Automatique à 4 rapports, non testée, est au catalogue sur cette version (malus neutre). Ses basses consommations, son bonus écologique et sa garantie 7 ans la place parmi les plus économiques de sa catégorie.

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La nouvelle Picanto se place parmi les plus économes de son segment


Du haut de ses 3,60 m, la Picanto réunit tous les arguments pour rivaliser avec les starlettes des villes : Empattement court, diamètre de braquage réduit et bonne visibilité périphérique. D’une main, la puce coréenne se faufile, s’extirpe et se stationne. Le confort est en progrès avec une suspension assouplie sur les deux trains (par rapport à sa devancière). La synthèse est bien meilleure que sur une Spark, plus basique. Au final, cette Picanto 2 propose un comportement agile en ville et sécurisant sur les grands axes.