Ceux-là ont été identifiés dans les usines françaises d’Aulnay-sous-Bois et de Rennes et font partie des 6.120 qui se sont retrouvés sur la carreau. Mais eux n'ont toujours pas de perspective d'emploi. Alors une enveloppe de 12,7 millions d’euros est proposée par l'Europe pour les aider à se former et à se caser. Voire même à se lancer dans leur propre entreprise.
Une initiative qui n'est pas rien. On rappellera que pour la seule Seine Saint Denis, le dégraissage effectuée par PSA à Alunay-sous-Bois a réduit la main d'oeuvre salariée dans la région de 13,6%. L'Union essaie donc de faire la force. Cependant, cette aide doit encore recevoir l’approbation du Parlement européen et du conseil des ministres de l’UE. Par ailleurs, ce n'est pas une première : en 2012, l’UE avait déjà décidé du versement de 12 millions d’euros pour venir en aide à 2.089 anciens salariés de PSA Peugeot-Citroën, licenciés en France en 2009 et 2010.















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