
Depuis plus d’un an, l’agence américaine de la sécurité routière a dans le viseur le système Autopilot du constructeur. Elle réclame désormais des données supplémentaires et brandit la menace d’une amende, pour le moins salée.
Depuis plus d’un an, l’agence américaine de la sécurité routière a dans le viseur le système Autopilot du constructeur. Elle réclame désormais des données supplémentaires et brandit la menace d’une amende, pour le moins salée.
Modèle le plus vendu au monde depuis le début de l'année, le SUV électrique américain devance chez nous des "poids lourds" du marché tels que les Dacia Duster autres Peugeot 3008 !
L'Europe de l'automobile a peur de la Chine et de ses voitures en passe d'envahir notre marché. Pourtant, 46 % des modèles en provenance de l'Empire du milieu sont de marques occidentales, conçues ici et fabriquées là-bas par des groupes qui, pour certains d'entre eux, fustigent la menace chinoise.
Après celle de Berlin, Tesla pourrait construire une seconde usine en Europe. Le constructeur américain voudrait y investir 4,5 milliards de dollars.
En tentant une mesure de protectionnisme, le président de la République tente de manœuvrer comme Joe Biden et son IRA. Comme lui, il envisage un programme destiné, entre autres, à empêcher les constructeurs chinois d'envahir le marché local. Mais la France n'est pas l'Amérique.
Nos amis britanniques et potentiels acheteurs de Tesla risquent d’être déçus. Le constructeur américain va abandonner la production de modèles avec le volant à droite. Le but est alors de faire des économies.
Le SUV électrique américain parvient même à devancer la Dacia Sandero.
Guerre des prix en Chine, velléités de produire des voitures électriques à moins de 25 000 euros : les signes d’un changement de stratégie apparaissent sur la planète auto. La folie du « produire moins pour gagner plus » a peut-être enfin du plomb dans l’aile, pour le meilleur et pour le consommateur.
Mieux vaut ne pas tomber en panne ou faire un bobo à sa Tesla. Les modèles de la marque présentent des coûts de réparation très élevés, supérieurs de 56 % par rapport à la moyenne.
Le premier constructeur mondial pourrait bien virer de bord. Et les réticences de son ex-patron, qui va quitter son fauteuil dans un mois, pourraient bien céder la place à l’enthousiasme de la nouvelle direction pour les autos à batteries.
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