Ce propriétaire de Tesla entend "participer à la révolution des transports" avec sa voiture électrique et son mode Autopilot. L'homme a d'ailleurs demandé explicitement à ce qu'aucune action ne soit engagée contre Tesla si un accident venait à survenir à bord de son auto avec le mode semi-autonome enclenché.
Tesla est actuellement dans une tourmente telle que certains experts financiers prédisent sa ruine dans les mois à venir. Entre un déficit chronique, un Model 3 qui ne sort des chaînes qu’au compte-gouttes et une dernière enquête ouverte par l’administration au sujet de son système « Autopilot » mis à l’index à la suite d’un accident mortel, la marque de voitures électriques haut de gamme essuie la tempête. Son cours de l’action en a pris un coup. Mais visiblement pas le moral du patron Elon Musk !
Le 23 mars dernier, la NTSB (national transport safety board) annonçait via Twitter mener une enquête sur la mort d'un propriétaire de Tesla Model X en Californie à la suite d'un accident. La NTSB précisait notamment vouloir en savoir plus sur l'usage potentiel de l'Autopilot dans le cas de cet accident. Il n'en a pas fallu beaucoup plus pour que l'action Tesla dégringole en bourse.
C’est une situation qui montre qu’à notre époque, il n’y a plus de repères ni de logiques. Mais seulement des opportunités, généralement au bénéfice d’initiés. Ainsi, les patrons de groupes automobiles historiques dont les usines sont peuplées de salariés sont plus souvent qu’à leur tour vilipendés ou cloués au pilori au simple énoncé de leur salaire. Mais voilà que l’on annonce au patron d’une marque Tesla sympathique, mais aux pertes colossales, une rémunération de 56 milliards de dollars, validée dans la liesse par les actionnaires. Incroyable ? Tout dépend de quoi on parle…
Une Tesla Model 3 à fond sur circuit, voilà une vision que nous n'avons pas vraiment l'habitude d'avoir jusqu'ici. Alors que les clients français trépignent d'impatience de mettre la main sur leur acquisition, cet homme se fait plaisir sur le mythique circuit de Laguna Seca. Non sans mal pour les freins qui ont rendu l'âme au bout d'une quinzaine de kilomètres à fond.
L'an dernier, la NASA lançait une campagne de recrutement pour un poste un peu spécial : la protection planétaire. Une personne allait en effet gagner quelque 150 000 dollars par an pour analyser les éventuels problèmes environnementaux liés à l'espace. Et cette personne vient justement d'expliquer qu'elle ne voulait plus voir de voitures envoyées en orbite. Elon Musk est prévenu.
Elon Musk promettait à l'ouverture des commandes de la Tesla Model 3 un cadeau tout particulier pour les premiers clients du véhicule. Plusieurs mois plus tard, le voici : une miniature de la voiture. Les destinataires de cette "délicate attention" sont pour la plupart déçus.
Avant d'entamer cet article, sachez qu'il ne s'agit ici que de second degré. Le présentateur Jeremy Clarkson, qui s'est déjà brouillé avec Tesla par le passé pour avoir pointé du doigt la faible autonomie (sur circuit) du Roadster, a voulu renouer avec une Tesla. Mais pour se protéger, cette fois, il embarqua quelques avocats...
Mission réussie pour Falcon Heavy, la fusée d'Elon Musk, qui a libéré dans l'espace une Tesla, qui doit prendre la direction de Mars. Les images du roadster en orbite autour de la Terre sont de toute beauté.
Lorsque le patron Elon Musk l’avait annoncé, on pensait à un canular. Mais celui qui préside tant aux destinées de Tesla, marque aux voitures électrisant la route, que de celles de SpaceX, aux fusées partant à la conquête de l’espace, a bel et bien joint l’utile à l’agréable : faire parler de ses automobiles et de ses ambitions spatiales. Son nouveau lanceur lourd montrera sa capacité à remplir des missions en prenant, à son bord, un exemplaire de la première voiture produite par Tesla, le Roadster…
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