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Commentaires - Agenda : un nouveau salon de la mobilité verte à Saint-Tropez

Florent Ferrière

Agenda : un nouveau salon de la mobilité verte à Saint-Tropez

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Cette strate bourgeoise plutôt bien éduqué stagne dans un inconscient collectif depuis une bonne 10aine d année. Après ça parle de communautarisme...

Par

Vert, durable, écologique... Concernant notamment la mobilité, ce n'est que du bullshit écolo-marketeux.

Par §LeP011AZ

En réponse à gibou78

Cette strate bourgeoise plutôt bien éduqué stagne dans un inconscient collectif depuis une bonne 10aine d année. Après ça parle de communautarisme...

   

En attendant ils seraient bien cons de rouler en Nissan Leaf plutôt qu'en Bentley, on ferait tous pareil et c'est totalement normal

Par §WJM678CU

Cara va pouvoir être partenaire. De Rugy en sera le parrain, il pourra vendre son homard sur le port.

Par §Tea183cM

En réponse à

Commentaire supprimé.

   

faire un salon de la mobilité verte est un choix. n'importe quelle ville dans le monde peut le faire. ça s'appelle de l'initiative. ta ville en manque certainement et vu ta façon de critiquer j'imagine que toi aussi.

 

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Par

En réponse à §WJM678CU

Cara va pouvoir être partenaire. De Rugy en sera le parrain, il pourra vendre son homard sur le port.

   

Mais non, le pauvre, il est allergique au homard. Ça le ferait chier d'en vendre.

Et il n'aime pas le champagne non plus.

C'est une victime dans cette affaire :biggrin:

Par

En réponse à

Commentaire supprimé.

   

J'avais un doute te concernant, mais la ce n'est plus possible...

Par

Cette ville pense se racheter une bonne conscience après avoir vu défiler tout l'été des monstres routiers, aquatiques et aériens. C'est sur qu'il faut faire beaucoup pour compenser le CO2 consommé par le ballet incessant des hélicoptères.

Par

Quand ce sujet est sur la table, c'est toujours le règne de l'oxymore.

Si il y a un problème, ce n'est pas celui des moyens de transport mais celui de la flagellation perpétuelle que tout citoyen devrait s'administrer du fait même d'exister. Depuis que Sapiens a quitté l'Afrique, il bouge dans tous les sens et la technologie n'est qu'un outil pour satisfaire cette «nécessité» bien ancrée dans nos besoins primaires. Toutes les autres espèces animales font de même mais avec moins de succès.

La mode actuelle est «haro sur les transports» alors que personne n'accepterait un simple retour aux possibilités de 1960, sans parler de 1900 ou 1780.

La vrai question est celle là: qui va accepter sans contrainte dure de vivre comme vivait le citoyen ordinaire de 1960?

une vidéo Thinkerview que je trouve bourrée de conneries:

https://www.youtube.com/watch?v=5gOsjIxR7T0

.

Par

En réponse à

Commentaire supprimé.

   

Ça, c'est le reflet de l'idéologie dominante, la vérité reste que la dégradation de la vie quotidienne des citoyens dans tout ce que l'on appelle le monde occidental (environ 1 milliard de gens) est directement liée a un prélèvement excessif de dividendes sur l'activité économique. Il n'y a plus assez d'argent pour les salaires.

Nous avons oublié que Henry Ford souhaitait donner un salaire qui permette a ses employés d'acheter ce qu'ils produisaient.

Le vrai problème n'est pas l'écologie mais le partage des richesses. De Platon a aujourd'hui, c'est un problème de fond dans tous les régimes politiques basés sur la liberté. La France a toujours été un pays rétrograde sur les questions sociales, l'exemple le plus visible est celui là: les femmes françaises ont obtenu le droit de vote 8 ans plus tard que les femmes turques et ça s'est passé sans vote des assemblées mais par ordonnance le 5 octobre 1944. Il est remarquable que ce droit ait été attribué sans le vote des assemblées qui avaient régulièrement rejeté ce progrès. Toute la protection sociale d'aujourd'hui a été crée de la même façon mais le décrire est beaucoup plus long.

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Par §Abs666Hk

En réponse à GY201

Quand ce sujet est sur la table, c'est toujours le règne de l'oxymore.

Si il y a un problème, ce n'est pas celui des moyens de transport mais celui de la flagellation perpétuelle que tout citoyen devrait s'administrer du fait même d'exister. Depuis que Sapiens a quitté l'Afrique, il bouge dans tous les sens et la technologie n'est qu'un outil pour satisfaire cette «nécessité» bien ancrée dans nos besoins primaires. Toutes les autres espèces animales font de même mais avec moins de succès.

La mode actuelle est «haro sur les transports» alors que personne n'accepterait un simple retour aux possibilités de 1960, sans parler de 1900 ou 1780.

La vrai question est celle là: qui va accepter sans contrainte dure de vivre comme vivait le citoyen ordinaire de 1960?

une vidéo Thinkerview que je trouve bourrée de conneries:

https://www.youtube.com/watch?v=5gOsjIxR7T0

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On voit bien avec ce genre d'intervention que nous sommes obsédés par progrès technologique, moteur de la croissance (éternelle bien sûr !) et garant de notre qualité de vie…

Bien sûr, il ne s'agit pas de remettre en question la technologie en tant que tel mais de jeter un regard lucide dessus. Les grandes avancées du monde moderne ne datent pas d'hier : chaîne du froid, stérilisation, vaccination, électricité, eau potable. Aujourd'hui, on invente des distributeurs automatiques de croquettes et autres absurdités qui finiront dans des décharges à ciel ouvert sur un autre continent…

Par

En réponse à §Abs666Hk

On voit bien avec ce genre d'intervention que nous sommes obsédés par progrès technologique, moteur de la croissance (éternelle bien sûr !) et garant de notre qualité de vie…

Bien sûr, il ne s'agit pas de remettre en question la technologie en tant que tel mais de jeter un regard lucide dessus. Les grandes avancées du monde moderne ne datent pas d'hier : chaîne du froid, stérilisation, vaccination, électricité, eau potable. Aujourd'hui, on invente des distributeurs automatiques de croquettes et autres absurdités qui finiront dans des décharges à ciel ouvert sur un autre continent…

   

Ce n'est pas une obsession mais un mouvement irrésistible.

Dans ce grand fatras d'objets toujours plus performants (au sens technologique), le temps se chargera de trier et de rejeter le futile. Les objets liés a nos déplacements sont bien installés sur toute la planète et sont utiles, ils permettent d'assouvir cette nécessité d'aller découvrir le monde loin de chez nous. Que ce soit un vélo, une voiture ou un avion, le but est d'aller ailleurs dans un lieu qui nous est inconnu même si depuis quelque temps, il n'y a plus un seul endroit de la planète où Sapiens n'a jamais posé le pied.

Après tout ça, quand j'entends «il faut sauver la planète» je traduis par «il faut sauver Sapiens» mais nous sommes les derniers représentants d'une lignée d'espèces et tous nos frères d'évolution ont disparus (dont Néandertal et Denisova). Quelle prétention que d'imaginer que nous avons les moyens de contrer l'évolution qui verra une terre sans Sapiens mais pas sans vie, mais tout ça est a des échéances que nous ne pouvons imaginer.

C'est sur cette base que l'écologie glisse doucement d'idéologie respectable vers religion méprisable. Les écologistes d'aujourd'hui sont devenus des prêtres de l'apocalypse, la simple lecture des titres des journaux depuis 6 semaines est édifiante. Je reste un mécréant.

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Par §Abs666Hk

En réponse à GY201

Ce n'est pas une obsession mais un mouvement irrésistible.

Dans ce grand fatras d'objets toujours plus performants (au sens technologique), le temps se chargera de trier et de rejeter le futile. Les objets liés a nos déplacements sont bien installés sur toute la planète et sont utiles, ils permettent d'assouvir cette nécessité d'aller découvrir le monde loin de chez nous. Que ce soit un vélo, une voiture ou un avion, le but est d'aller ailleurs dans un lieu qui nous est inconnu même si depuis quelque temps, il n'y a plus un seul endroit de la planète où Sapiens n'a jamais posé le pied.

Après tout ça, quand j'entends «il faut sauver la planète» je traduis par «il faut sauver Sapiens» mais nous sommes les derniers représentants d'une lignée d'espèces et tous nos frères d'évolution ont disparus (dont Néandertal et Denisova). Quelle prétention que d'imaginer que nous avons les moyens de contrer l'évolution qui verra une terre sans Sapiens mais pas sans vie, mais tout ça est a des échéances que nous ne pouvons imaginer.

C'est sur cette base que l'écologie glisse doucement d'idéologie respectable vers religion méprisable. Les écologistes d'aujourd'hui sont devenus des prêtres de l'apocalypse, la simple lecture des titres des journaux depuis 6 semaines est édifiante. Je reste un mécréant.

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Un mouvement irrésistible qu'il faudrait donc contempler béatement ?

Quant à ton discours sur l'écologie, tellement simpliste mais facile à tenir quand on vit confortablement dans un pays occidental qui a délocalisé toutes ses activités polluantes et qui jouit d'un climat tempéré...

Les problèmes environnementaux sont déjà une réalité et ils ne touchent pas que le climat. Surpêche, déforestation, perte de biodiversité, pollution de l'air, des eaux, sont les défis de demain, pas du prochain millénaire…. Sans parler du défi des énergies, des métaux, de la production agricole...

L'idéologie se cache sans doute davantage dans les défenseurs d'une croissance éternelle dans un monde fini, qui voient dans le progrès technologique une solution à tous nos problèmes. C'est la négation de principes physiques élémentaires.

Par

En réponse à §Abs666Hk

Un mouvement irrésistible qu'il faudrait donc contempler béatement ?

Quant à ton discours sur l'écologie, tellement simpliste mais facile à tenir quand on vit confortablement dans un pays occidental qui a délocalisé toutes ses activités polluantes et qui jouit d'un climat tempéré...

Les problèmes environnementaux sont déjà une réalité et ils ne touchent pas que le climat. Surpêche, déforestation, perte de biodiversité, pollution de l'air, des eaux, sont les défis de demain, pas du prochain millénaire…. Sans parler du défi des énergies, des métaux, de la production agricole...

L'idéologie se cache sans doute davantage dans les défenseurs d'une croissance éternelle dans un monde fini, qui voient dans le progrès technologique une solution à tous nos problèmes. C'est la négation de principes physiques élémentaires.

   

irrésistible, c'est a dire que quelque soit nos actions, il n'est pas possible d'empêcher ce mouvement.

.

Pour le reste, les problèmes environnementaux ne sont pas une nouveauté. De la disparition des paresseux géants a celle des aurochs, la liste de l'influence humaine sur la vie des autres espèces est très longue. Est-il nécessaire de faire acte de contrition?

Personne n'est responsable du lieu et du moment de sa naissance. On ne maîtrise pas tellement plus sa place dans la société humaine. Alors, oui il y a de la surpêche (25 ans d'interdiction de la pêche a la morue au Canada pour le retour de ce poisson), oui pour tous les autres points mais pour que l'exploitation des milieux naturels baisse d'intensité, il faut moins d'humains. Comment fait-on?

Le défi des énergies est un autre point: il ne faut plus de barrages, plus de nucléaire, plus de charbon, pas d'éolienne a coté de mon jardin, etc… La bêtise est si grande que le gaz naturel, fort du nom qu'il porte, est la seule énergie qui n'est pas attaquée alors que c'est un hydrocarbure comme les autres. Nous avons besoin de toutes les sources, seul le charbon est réellement a éviter, ses rejets sont une vraie plaie mais le jour où une pénurie arrivera, toutes les sociétés vont de nouveau l'utiliser.

Il n'y a pas d'idéologie de croissance éternelle mais une augmentation permanente du savoir collectif qui repousse sans cesse les limites naturelles qui contiennent les effectifs de Sapiens. Ceci ne peut pas être éternel mais ce n'est pas a l'échelle de la vie des gens présents sur terre aujourd'hui et de leurs descendants directs que ça va se voir.

Les malthusiens ont déjà sorti bien des avis mais jamais la réalité n'a rencontré leurs craintes. Même si la terre est un espace limité, l'effet d'échelle laisse encore une part de croissance pour l'espèce envahissante qu'est Sapiens, il n'y a aucune raison ni de se réjouir ni de se lamenter, tout ceci est naturel, la nature c'est nous aussi.

Aujourd'hui, l'estimation du maximum d'humains est de 12 milliard, il y a 50 ans, c'était combien? Tout est faux dans ces estimations et la réalité sera moins ou plus sur la base de changements que nous sommes incapables d'imaginer.

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Par

En réponse à §Abs666Hk

Un mouvement irrésistible qu'il faudrait donc contempler béatement ?

Quant à ton discours sur l'écologie, tellement simpliste mais facile à tenir quand on vit confortablement dans un pays occidental qui a délocalisé toutes ses activités polluantes et qui jouit d'un climat tempéré...

Les problèmes environnementaux sont déjà une réalité et ils ne touchent pas que le climat. Surpêche, déforestation, perte de biodiversité, pollution de l'air, des eaux, sont les défis de demain, pas du prochain millénaire…. Sans parler du défi des énergies, des métaux, de la production agricole...

L'idéologie se cache sans doute davantage dans les défenseurs d'une croissance éternelle dans un monde fini, qui voient dans le progrès technologique une solution à tous nos problèmes. C'est la négation de principes physiques élémentaires.

   

Nous avons déjà échangé sur le sujet. Je suis dans l’expectative.

D'un coté le simple bon sens, me recommande de réduire mes consommations de toutes sortes dont l'énergie. D'un autre coté un discours alarmiste culpabilisant mais dans le même temps une incitation à consommer, donc produire de nouvelles choses que l'on promet propres. Je vois bien derrière ce discours, la sacro sainte croissnce qui est l'inverse de ce qu'il faudrait raisonnablement faire. De plus les choses ne sont pas aussi simples.

Si je prends l'exemple de l'Afrique, il a été distribué des réchauds à gaz afin que les gens arrètes de couper des arbres pour alimenter les feux de cuisson. Ce petit exemple démontre la complexité des choses.

Si je prends un exemple de chez nous, comment expliquer que l'on nous promets des interdictions de diesel dans des villes pour 2025 et que dans le même temps on continue à en commercialiser. tout cela n'est pas cohérent avec la protection de la planète. si l'on ajoute la dessus une couche de mondialisation avec des contraintes différentes selon les pays....

Nous ne sommes même pas capable de nous accorder sur des législations fiscales et environnementales en Europe...

Tout cela ressemble à une escroquerie bien organisée.

Par

a Gordini12:

Pour l'Afrique, le réchaud a gaz est bien mais il faut acheter le gaz alors que le bois est disponible pour qui va le chercher. Ce qu'il faut, c'est planter, et ils plantent.

Chez nous: pas de diesel en 2025 dans les villes, oui peut être même pas de voitures du tout mais il y a le reste du territoire, il faudra toujours se déplacer et la campagne est bien plus grande que les villes.

Dans ce grand merdier, les choix automobiles sont un mélange de la contrainte, de la nécessité et de l'imaginaire. J'ai a peu prés déterminé ce qui va être mon dernier achat en espérant 20 ans de durée de vie minimum mais je laisse de coté les contraintes réglementaires qui sont les éléments les plus instables pesant sur le choix.

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Par §Abs666Hk

En réponse à GY201

irrésistible, c'est a dire que quelque soit nos actions, il n'est pas possible d'empêcher ce mouvement.

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Pour le reste, les problèmes environnementaux ne sont pas une nouveauté. De la disparition des paresseux géants a celle des aurochs, la liste de l'influence humaine sur la vie des autres espèces est très longue. Est-il nécessaire de faire acte de contrition?

Personne n'est responsable du lieu et du moment de sa naissance. On ne maîtrise pas tellement plus sa place dans la société humaine. Alors, oui il y a de la surpêche (25 ans d'interdiction de la pêche a la morue au Canada pour le retour de ce poisson), oui pour tous les autres points mais pour que l'exploitation des milieux naturels baisse d'intensité, il faut moins d'humains. Comment fait-on?

Le défi des énergies est un autre point: il ne faut plus de barrages, plus de nucléaire, plus de charbon, pas d'éolienne a coté de mon jardin, etc… La bêtise est si grande que le gaz naturel, fort du nom qu'il porte, est la seule énergie qui n'est pas attaquée alors que c'est un hydrocarbure comme les autres. Nous avons besoin de toutes les sources, seul le charbon est réellement a éviter, ses rejets sont une vraie plaie mais le jour où une pénurie arrivera, toutes les sociétés vont de nouveau l'utiliser.

Il n'y a pas d'idéologie de croissance éternelle mais une augmentation permanente du savoir collectif qui repousse sans cesse les limites naturelles qui contiennent les effectifs de Sapiens. Ceci ne peut pas être éternel mais ce n'est pas a l'échelle de la vie des gens présents sur terre aujourd'hui et de leurs descendants directs que ça va se voir.

Les malthusiens ont déjà sorti bien des avis mais jamais la réalité n'a rencontré leurs craintes. Même si la terre est un espace limité, l'effet d'échelle laisse encore une part de croissance pour l'espèce envahissante qu'est Sapiens, il n'y a aucune raison ni de se réjouir ni de se lamenter, tout ceci est naturel, la nature c'est nous aussi.

Aujourd'hui, l'estimation du maximum d'humains est de 12 milliard, il y a 50 ans, c'était combien? Tout est faux dans ces estimations et la réalité sera moins ou plus sur la base de changements que nous sommes incapables d'imaginer.

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Bien sûr qu'il y a une idéologie de la croissance perpétuelle via le progrès technologique. Notre système repose dessus, s'il arrête de croître, il s'effondre… C'est la définition même d'un système instable. Or ses icônes, tel Elon Musk, sont considérées comme les génies du 21ème siècle.

La perte de biodiversité actuelle n'a rien à voir avec l'évolution des 18 et 19ème siècles. L'augmentation du nombre de maillons manquants dans les écosystèmes peut engendrer des extinctions en masses d'espèces en amont ou en aval dans la chaîne alimentaire. La sécurité alimentaire est à ce titre une préoccupation liée à la biodiversité.

Evidemment, c'était facile d'évoquer les échéances erronées des malthusiens. Et si on parlait de leurs détracteurs qui nous promettaient voitures volantes, mini réacteurs nucléaires dans les voitures, fusion nucléaire, vols spatiaux pour tous ?

Par §Abs666Hk

En réponse à gordini12

Nous avons déjà échangé sur le sujet. Je suis dans l’expectative.

D'un coté le simple bon sens, me recommande de réduire mes consommations de toutes sortes dont l'énergie. D'un autre coté un discours alarmiste culpabilisant mais dans le même temps une incitation à consommer, donc produire de nouvelles choses que l'on promet propres. Je vois bien derrière ce discours, la sacro sainte croissnce qui est l'inverse de ce qu'il faudrait raisonnablement faire. De plus les choses ne sont pas aussi simples.

Si je prends l'exemple de l'Afrique, il a été distribué des réchauds à gaz afin que les gens arrètes de couper des arbres pour alimenter les feux de cuisson. Ce petit exemple démontre la complexité des choses.

Si je prends un exemple de chez nous, comment expliquer que l'on nous promets des interdictions de diesel dans des villes pour 2025 et que dans le même temps on continue à en commercialiser. tout cela n'est pas cohérent avec la protection de la planète. si l'on ajoute la dessus une couche de mondialisation avec des contraintes différentes selon les pays....

Nous ne sommes même pas capable de nous accorder sur des législations fiscales et environnementales en Europe...

Tout cela ressemble à une escroquerie bien organisée.

   

Mais la réponse est toute simple : la croissance du PIB et la préservation de l'environnement sont des objectifs parfaitement antagonistes. Raison pour laquelle nous avons effectivement droit à des politiques schizophrènes qui nous vendent la "croissance verte" et autres concepts saugrenus.

Si on n'arrive pas à prendre des décisions pertinentes pour l'environnement, c'est bien parce qu'on est incapable de sortir de notre modèle économique.

C'est d'autant plus regrettable que dans nos riches sociétés occidentales, la croissance du PIB n'est plus gage d'une croissance de la qualité de vie. La corrélation ne se vérifie que dans une certaine mesure, au delà, d'autres paramètres prennent le dessus. Dont les aspects environnementaux (qualité de l'air, de l'eau, de l'alimentation) ou sociaux-culturels (stress, sédentarité, malbouffe, travail de nuit, etc.)

Dans le top 10 des plus grandes entreprises mondiales on retrouve 5 pétrolières (!), le géant de l’énergie chinois State Grid, deux constructeurs automobile, la société d’investissement Berkshire Hathaway (fondée par Warren Buffet) et le géant américain de la grande distribution Walmart. A ton avis, qui escroque qui ?

Par §LeP011AZ

En réponse à §Abs666Hk

Mais la réponse est toute simple : la croissance du PIB et la préservation de l'environnement sont des objectifs parfaitement antagonistes. Raison pour laquelle nous avons effectivement droit à des politiques schizophrènes qui nous vendent la "croissance verte" et autres concepts saugrenus.

Si on n'arrive pas à prendre des décisions pertinentes pour l'environnement, c'est bien parce qu'on est incapable de sortir de notre modèle économique.

C'est d'autant plus regrettable que dans nos riches sociétés occidentales, la croissance du PIB n'est plus gage d'une croissance de la qualité de vie. La corrélation ne se vérifie que dans une certaine mesure, au delà, d'autres paramètres prennent le dessus. Dont les aspects environnementaux (qualité de l'air, de l'eau, de l'alimentation) ou sociaux-culturels (stress, sédentarité, malbouffe, travail de nuit, etc.)

Dans le top 10 des plus grandes entreprises mondiales on retrouve 5 pétrolières (!), le géant de l’énergie chinois State Grid, deux constructeurs automobile, la société d’investissement Berkshire Hathaway (fondée par Warren Buffet) et le géant américain de la grande distribution Walmart. A ton avis, qui escroque qui ?

   

En fait tu veux refaire le monde, ben bon courage, tu dois être bien malheureux car ça ne changera pas et le modèle actuel (pas parfait) fonctionne.

Personnellement je me sens bien dans ce schéma de consommation. Je veux faire un voyage, acheter tel ou tel truc et ben je peux et franchement n'est ce pas plaisant ? pour moi oui.

Et je m'en fiche qu'a tes yeux je sois une mauvaise personne qui n'a pas conscience de la planète.

Par

En réponse à §Abs666Hk

Bien sûr qu'il y a une idéologie de la croissance perpétuelle via le progrès technologique. Notre système repose dessus, s'il arrête de croître, il s'effondre… C'est la définition même d'un système instable. Or ses icônes, tel Elon Musk, sont considérées comme les génies du 21ème siècle.

La perte de biodiversité actuelle n'a rien à voir avec l'évolution des 18 et 19ème siècles. L'augmentation du nombre de maillons manquants dans les écosystèmes peut engendrer des extinctions en masses d'espèces en amont ou en aval dans la chaîne alimentaire. La sécurité alimentaire est à ce titre une préoccupation liée à la biodiversité.

Evidemment, c'était facile d'évoquer les échéances erronées des malthusiens. Et si on parlait de leurs détracteurs qui nous promettaient voitures volantes, mini réacteurs nucléaires dans les voitures, fusion nucléaire, vols spatiaux pour tous ?

   

Malthusien ou rêveurs pour un futur imaginaire se sont tous trompés. La différence réside dans le fait que les seconds font sourire et que les premiers inspirent des politiques mortifères.

La technologie pour elle même n'est rien mais disettes et famines ont quasiment disparu de la terre a l'exception des zones de guerre. 1 milliard de Sapiens en 1800, 8 milliard aujourd'hui, une espérance de vie au plus haut pour la presque totalité des nouveau nés, on ne peux pas faire autre chose que de s'en réjouir. Le jour où ces prélèvements seront réellement excessifs, ça se verra directement par le retour a un ordre ancien quand la mauvaise récolte entraînait la disette parce que aucun camion ne pouvait acheminer du grain depuis un lieu où la récolte était bonne.

Pour ceux que ça chagrine que les prélèvements sur les ressources terrestres pour assurer nourriture et bonne santé soient importants, et bien qu'ils cessent de s'alimenter, de se soigner, de se déplacer. Cette outrance là vaut bien l'outrance de ceux qui veulent protéger une nature qu'ils ont jamais connue et qui oublient que la nature, c'est nous.

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Par

En réponse à §Abs666Hk

Mais la réponse est toute simple : la croissance du PIB et la préservation de l'environnement sont des objectifs parfaitement antagonistes. Raison pour laquelle nous avons effectivement droit à des politiques schizophrènes qui nous vendent la "croissance verte" et autres concepts saugrenus.

Si on n'arrive pas à prendre des décisions pertinentes pour l'environnement, c'est bien parce qu'on est incapable de sortir de notre modèle économique.

C'est d'autant plus regrettable que dans nos riches sociétés occidentales, la croissance du PIB n'est plus gage d'une croissance de la qualité de vie. La corrélation ne se vérifie que dans une certaine mesure, au delà, d'autres paramètres prennent le dessus. Dont les aspects environnementaux (qualité de l'air, de l'eau, de l'alimentation) ou sociaux-culturels (stress, sédentarité, malbouffe, travail de nuit, etc.)

Dans le top 10 des plus grandes entreprises mondiales on retrouve 5 pétrolières (!), le géant de l’énergie chinois State Grid, deux constructeurs automobile, la société d’investissement Berkshire Hathaway (fondée par Warren Buffet) et le géant américain de la grande distribution Walmart. A ton avis, qui escroque qui ?

   

Un chiffre n'est qu'une indication, pas une démonstration. C'est comme les corrélations de statistiques: on leur fait dire ce que l'on veut. La taille d'un commerce n'a rien a voir avec ses bénéfices.

Et ensuite qui profite des bénéfices : des fonds de pension qui paient des retraites.

Dans ce cas, il ne faut plus payer de retraite, c'est payer les gens à ne rien faire (je suis retraité).

C'est comme les lobbys, ils sont méchants si ce sont des entreprises du CAC 40, mais gentils si ce sont des organisations dites humanitaires. Allez donc faire un tour en Afrique pour voir qui habite les villas les plus luxueuses et roule dans les plus gros 4x4. D'un autre coté Renault, Total font vivre des dizaines de milliers de familles, ou même le plus modeste ouvrier tire profit de son emploi. S'il se compare à un asiatique voir africain, il va comprendre qui profite de qui.

Ce discours de matraquage, fait oublier aux français, qui est le gagnant de la mondialisation?

Par

Allez, demain tous en vélo, électrique bien sur la sueur est bien trop odorante. N'oublions pas l'option casier a homard pour les amoureux de la nature.

Par §Abs666Hk

En réponse à GY201

Malthusien ou rêveurs pour un futur imaginaire se sont tous trompés. La différence réside dans le fait que les seconds font sourire et que les premiers inspirent des politiques mortifères.

La technologie pour elle même n'est rien mais disettes et famines ont quasiment disparu de la terre a l'exception des zones de guerre. 1 milliard de Sapiens en 1800, 8 milliard aujourd'hui, une espérance de vie au plus haut pour la presque totalité des nouveau nés, on ne peux pas faire autre chose que de s'en réjouir. Le jour où ces prélèvements seront réellement excessifs, ça se verra directement par le retour a un ordre ancien quand la mauvaise récolte entraînait la disette parce que aucun camion ne pouvait acheminer du grain depuis un lieu où la récolte était bonne.

Pour ceux que ça chagrine que les prélèvements sur les ressources terrestres pour assurer nourriture et bonne santé soient importants, et bien qu'ils cessent de s'alimenter, de se soigner, de se déplacer. Cette outrance là vaut bien l'outrance de ceux qui veulent protéger une nature qu'ils ont jamais connue et qui oublient que la nature, c'est nous.

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Comme je l'ai dit, ces gains n'ont pas été obtenus par le déploiement de technologies de pointe mais bien par la démocratisation de technologies "simples" rendue possible par une augmentation du niveau de vie dans les régions pauvres. L'espérance de vie est au plus haut mais celle en bonne santé baisse dans bon nombre de pays développés et stagne en France, pour des raisons que j'ai déjà évoquées.

Maintenant, je veux bien que tu m'expliques en quoi réduire notre impact environnemental serait nécessairement mortifère.

Par

A gordini12:

tu tombes dans l'erreur commune en France. Non, les actionnaires ne sont pas des fonds de pension mais des fonds d’investissement, certains même sont dit spéculatifs. Quelques uns seulement de ce fonds sont des fonds de pension mais en fait ils ne sont pas nombreux et surtout jamais spéculatifs, plutôt très prudents.

Cet amalgame a été construit pour nous faire croire que la retraite par répartition est un mauvais choix, mais la déroute de 2008 a rendu de dernier point intenable.

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Par

En réponse à GY201

Malthusien ou rêveurs pour un futur imaginaire se sont tous trompés. La différence réside dans le fait que les seconds font sourire et que les premiers inspirent des politiques mortifères.

La technologie pour elle même n'est rien mais disettes et famines ont quasiment disparu de la terre a l'exception des zones de guerre. 1 milliard de Sapiens en 1800, 8 milliard aujourd'hui, une espérance de vie au plus haut pour la presque totalité des nouveau nés, on ne peux pas faire autre chose que de s'en réjouir. Le jour où ces prélèvements seront réellement excessifs, ça se verra directement par le retour a un ordre ancien quand la mauvaise récolte entraînait la disette parce que aucun camion ne pouvait acheminer du grain depuis un lieu où la récolte était bonne.

Pour ceux que ça chagrine que les prélèvements sur les ressources terrestres pour assurer nourriture et bonne santé soient importants, et bien qu'ils cessent de s'alimenter, de se soigner, de se déplacer. Cette outrance là vaut bien l'outrance de ceux qui veulent protéger une nature qu'ils ont jamais connue et qui oublient que la nature, c'est nous.

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Il y aurait une 1/2 mesure qui consisterait à être plus raisonnable.

Malheureusement ce n'est la vision des choses qui est enseignée par les politiques et médias. Ils profitent trop eux même du système actuel. Pourtant nous sommes arrivé à point ou notre confort est top, nous vivons comme Louis 14, sans nous en rendre compte. Ce que j'observe c'est que la quasi totalité de ces revendications pseudo-écolo est égoïste ou irresponsable.

Par §Abs666Hk

En réponse à gordini12

Un chiffre n'est qu'une indication, pas une démonstration. C'est comme les corrélations de statistiques: on leur fait dire ce que l'on veut. La taille d'un commerce n'a rien a voir avec ses bénéfices.

Et ensuite qui profite des bénéfices : des fonds de pension qui paient des retraites.

Dans ce cas, il ne faut plus payer de retraite, c'est payer les gens à ne rien faire (je suis retraité).

C'est comme les lobbys, ils sont méchants si ce sont des entreprises du CAC 40, mais gentils si ce sont des organisations dites humanitaires. Allez donc faire un tour en Afrique pour voir qui habite les villas les plus luxueuses et roule dans les plus gros 4x4. D'un autre coté Renault, Total font vivre des dizaines de milliers de familles, ou même le plus modeste ouvrier tire profit de son emploi. S'il se compare à un asiatique voir africain, il va comprendre qui profite de qui.

Ce discours de matraquage, fait oublier aux français, qui est le gagnant de la mondialisation?

   

Réduire la consommation, c'est réduire de facto la consommation d'énergie et donc les résultats financiers des vendeurs d'énergie. Libre à toi d'être naïf.

Après je n'ai pas de recette miracle. Sur l'emploi par exemple. Simplement, on préfère aujourd'hui allouer nos moyens humains, financiers, techniques, au développement de gadgets sous couvert de "progrès" plutôt qu'aux questions de fond.

Par §Abs666Hk

En réponse à GY201

Allez, demain tous en vélo, électrique bien sur la sueur est bien trop odorante. N'oublions pas l'option casier a homard pour les amoureux de la nature.

   

J'ai un vélo sans assistance et je l'utilise tous les jours en complément du train… Mais j'en suis bien conscient : je suis correctement desservi !

Par

En réponse à §Abs666Hk

Comme je l'ai dit, ces gains n'ont pas été obtenus par le déploiement de technologies de pointe mais bien par la démocratisation de technologies "simples" rendue possible par une augmentation du niveau de vie dans les régions pauvres. L'espérance de vie est au plus haut mais celle en bonne santé baisse dans bon nombre de pays développés et stagne en France, pour des raisons que j'ai déjà évoquées.

Maintenant, je veux bien que tu m'expliques en quoi réduire notre impact environnemental serait nécessairement mortifère.

   

que mets-tu dans réduire son impact environnemental?

Si il s'agit de ne pas gaspiller, je pratique depuis que je vis, j'ai souvent dit que être écolo, c'est d'abord être pingre.

Si il s'agit de se priver de confort accessible, là je ne suis plus écolo, même si ma voiture est peu gourmande, surtout a la hauteur du confort qu'elle procure, je ne vais pas réduire son usage aux seules nécessités.

Un exemple que je choisis très fort: les cerises sur la table a Noël. Tous les jours, il y a des avions qui décollent du Chili vers l'Europe, jamais ces avions ne décollent a la masse maxi possible. En hiver ces avions emportent dans leurs soutes, hors les bagages des passagers, des containers de cerises, la dépense supplémentaire de kérozène ne dépasse pas 2€ par kg alors que le prix de vente au détail que j'ai vu dépasse largement 15€/kg.

Perso je n'achète pas mais tant qu'il y a des acheteurs, il y aura des chiliens qui cultiveront des cerises, les récolteront avec soin et les enverrons en Europe. Je ne pense pas que le chiliens qui font ça s'en plaignent, pas plus que les compagnies qui facturent le kg de fret bien plus que les 2€ du coût réel du seul transport, toutes les autres dépenses sont assurées par les billets des passagers.

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Par §Abs666Hk

En réponse à GY201

que mets-tu dans réduire son impact environnemental?

Si il s'agit de ne pas gaspiller, je pratique depuis que je vis, j'ai souvent dit que être écolo, c'est d'abord être pingre.

Si il s'agit de se priver de confort accessible, là je ne suis plus écolo, même si ma voiture est peu gourmande, surtout a la hauteur du confort qu'elle procure, je ne vais pas réduire son usage aux seules nécessités.

Un exemple que je choisis très fort: les cerises sur la table a Noël. Tous les jours, il y a des avions qui décollent du Chili vers l'Europe, jamais ces avions ne décollent a la masse maxi possible. En hiver ces avions emportent dans leurs soutes, hors les bagages des passagers, des containers de cerises, la dépense supplémentaire de kérozène ne dépasse pas 2€ par kg alors que le prix de vente au détail que j'ai vu dépasse largement 15€/kg.

Perso je n'achète pas mais tant qu'il y a des acheteurs, il y aura des chiliens qui cultiveront des cerises, les récolteront avec soin et les enverrons en Europe. Je ne pense pas que le chiliens qui font ça s'en plaignent, pas plus que les compagnies qui facturent le kg de fret bien plus que les 2€ du coût réel du seul transport, toutes les autres dépenses sont assurées par les billets des passagers.

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Ah voilà une question intéressante. Tu noteras si tu réfléchis un peu à la question qu'en occident nous avons de grandes marges de manœuvres qui permettraient de réduire cet impact sans affecter notre qualité de vie (puisque c'est bien l'essentiel ne l'oublions pas) sur tri des déchets, l’utilisation des TC ou du vélo, la réduction des emballages, les dérives de l’industrie textile (fast-fashion) et numérique (profusion d’écrans, d’objets connectés), les habitudes alimentaires (nourriture industrielle, ultra transformée, huile de palme, viande), les vacances (vols longues distances) etc…

Evidemment, chacun est libre de son mode de vie, je pense qu'un bilan doit être global. Un "bobo" qui va au travail à vélo mais passe ses vacances à San Francisco n'est pas très cohérent c'est vrai, mais son bilan global pourrait être meilleur que celui qui fait 20.000 km par an avec son SUV et qui se contente de partir en France…

Le truc, c'est qu'une fois qu'on a conscience des impacts de nos activités, on adopte des comportements plus responsables. De nouvelles habitudes se mettent en place et peuvent aussi contribuer à la qualité de vie : qualité de l'alimentation (locale), activité physique (vélo) etc. D’ailleurs, bons nombre de paramètres environnementaux influent directement sur notre qualité de vie… Sans doute bien davantage que les maigres points de croissance obtenus ces dernières années…

Concernant ton exemple des cerises, il est intéressant c’est vrai. Mais l'Amérique latine est aussi connue pour ses monocultures et ses élevages bovins… Et on en revient au rôle fondamental du consommateur (occidental).

Par

En réponse à §Abs666Hk

Ah voilà une question intéressante. Tu noteras si tu réfléchis un peu à la question qu'en occident nous avons de grandes marges de manœuvres qui permettraient de réduire cet impact sans affecter notre qualité de vie (puisque c'est bien l'essentiel ne l'oublions pas) sur tri des déchets, l’utilisation des TC ou du vélo, la réduction des emballages, les dérives de l’industrie textile (fast-fashion) et numérique (profusion d’écrans, d’objets connectés), les habitudes alimentaires (nourriture industrielle, ultra transformée, huile de palme, viande), les vacances (vols longues distances) etc…

Evidemment, chacun est libre de son mode de vie, je pense qu'un bilan doit être global. Un "bobo" qui va au travail à vélo mais passe ses vacances à San Francisco n'est pas très cohérent c'est vrai, mais son bilan global pourrait être meilleur que celui qui fait 20.000 km par an avec son SUV et qui se contente de partir en France…

Le truc, c'est qu'une fois qu'on a conscience des impacts de nos activités, on adopte des comportements plus responsables. De nouvelles habitudes se mettent en place et peuvent aussi contribuer à la qualité de vie : qualité de l'alimentation (locale), activité physique (vélo) etc. D’ailleurs, bons nombre de paramètres environnementaux influent directement sur notre qualité de vie… Sans doute bien davantage que les maigres points de croissance obtenus ces dernières années…

Concernant ton exemple des cerises, il est intéressant c’est vrai. Mais l'Amérique latine est aussi connue pour ses monocultures et ses élevages bovins… Et on en revient au rôle fondamental du consommateur (occidental).

   

une seule réponse: le consommateur est l’ennemie du citoyen.

Après tout ça chacun vit dans un environnement social et culturel qui filtre sa façon de voir mais trop souvent, les discutions directes que j'ai pu avoir sur le sujet fait craquer les contradictions et l'absence de fond. Le gamin qui observait les gammares a l'age de 10 ans devenu retraité depuis peu a eu la chance d'observer bien des choses en restant a coté de l'agitation commune. Après le retour a la vie sédentaire liée a cette retraite, je ne peux voir que l'incohérence dans les propos proposant la «sauvegarde» de l'humanité par la réduction de nos activités les plus innocentes.

Notre ancien hélicologiste devenu ministre est la caricature de ce genre de militant, il a passé sa vie a devenir fortuné puis se met a dire a tous: votre opulence met en danger la planète. J'ai énormément plus d'estime pour Julien Coupat qui a volontairement choisi une vie simple alors qu'il avait accès a la même aisance que moi voire beaucoup plus encore.

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Maintenant, quand je suis en présence de prévisions, je me demande quand je vais pouvoir planter un manguier dans mon jardin et je prépare 6 semaines sous les tropiques pour l'hiver prochain.

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Par

En réponse à §Abs666Hk

Réduire la consommation, c'est réduire de facto la consommation d'énergie et donc les résultats financiers des vendeurs d'énergie. Libre à toi d'être naïf.

Après je n'ai pas de recette miracle. Sur l'emploi par exemple. Simplement, on préfère aujourd'hui allouer nos moyens humains, financiers, techniques, au développement de gadgets sous couvert de "progrès" plutôt qu'aux questions de fond.

   

Je pense qu'il est possible de vivre avec une réduction globale de nos consommations sans que notre vie quotidienne soit fortement impacté. Nous sommes dans le paradoxe ou ceux qui ont du travail, en ont trop (assez souvent) et ceux qui n'en ont pas se plaignent de ne pas avoir assez d'argent. Ceux qui travaillent ne veulent pas réduire leur train de vie et ceux qui sont au chômage, trouvent qu'ils ne sont pas assez payés. C'est une équation difficile, d'autant que les gens ont adopté la mentalité que vouloir un travail qui correspond à leurs désirs.

Cet exemple est symptomatique de la société dans laquelle nous vivons. Les fondamentaux du travail sont se loger et se nourrir. C'est bien si le travail plait, mais ce n'est pas le fondamental. L'homme primitif ne se posait pas la question de savoir si chasser ou ramasser du bois lui plaisait, il devait le faire.

Une majorité des revendications écolos sont à cette image. Protéger la planète mais ne rien lâcher. Que ce soit la construction d'un barrage ou le prix du bio, il ne faut rien changer. Les médias sont complices de ce matraquage en omettant de dire qu'il faut réduire nos ambitions. C'est tous les jours que j'entends: il faut modifier notre mode consommation, jamais il faut réduire la voilure.

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En réponse à §LeP011AZ

En attendant ils seraient bien cons de rouler en Nissan Leaf plutôt qu'en Bentley, on ferait tous pareil et c'est totalement normal

   

Bentley a sorti un modèle hybride rechargeable...

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Commentaire supprimé.

   

On peut se faire plaisir avec une technologie intelligente qui permet de se déplacer en ville sans empester. Toutes les supercars sont hybrides aujourd'hui.

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En réponse à Hybridation

On peut se faire plaisir avec une technologie intelligente qui permet de se déplacer en ville sans empester. Toutes les supercars sont hybrides aujourd'hui.

   

Combien rechargent les batteries le soir?

 

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