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Commentaires - Avant Internet, l’achat d’une occasion était une aventure…

Stéphane Schlesinger

Avant Internet, l’achat d’une occasion était une aventure…

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le gros des annonces, c'était surtout les journaux gratuits (Carillon, TOP affaires, Paru-Vendu...), on payait à la ligne, d'où toutes ces abréviations pour en dire le plus possible pour le moins cher possible. Le mercredi, on était tous le nez dans ces journaux !

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Perso, je n' ai jamais acheté de voiture sur petite annonce.

A l' époque où je cherchais ma première voiture, il y avait chaque dimanche matin un "marché de l' occasion" sur le parking d' un centre commercial aux environs de chez moi. On y venait directement avec sa voiture pour la vendre sur place (particulier ou professionnel). Et en tant qu' acheteur, on voyait de près (ou du moins le plus possible!) à quoi on avait affaire... Entretien, factures, papiers...

Bon, ca pouvait aussi avoir un côté "cour des miracles" selon les vendeurs!

Par

Je fessait les allée de vendeur occasion

Par

J'annonce et la Centrale un grand classique. Top Cars. A cette époque les bonnes affaires restaient assez longtemps Surtout sans photo.

Par

une époque différente... c'était du coup plus local, et moins de chance de récupérer une voiture maquillée refaite dans les pays de l'est, voitures plus simple, moins chère...

 

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Par

Terrenette c'est formidable, c'est Jospin qu'a inventé ça. Lors d'un discours de ouf à Pèteuxlézoies en 1998 ou 1999.

Un rassemblement de fondu impossible à raconter ici.

J'viens d'voir un truc, grâce à 3615 ulla, pour la coupe du monde de foot au Qatar les côtes respectives du Japon et de la Corée du Sud sont de 250 contre 1..

Un billet sur l'une ou l'autre voir les 2 et... Grâce à la techno, on s'retrouve en position de force sur un Opel Corsa 1,4 D, non roulant, de 298.000 km, passé en vente sur la Centrale en 1978 et quelques dimanche matin sur un parking de supermarché en 1984.

J'vais jouer ça. C'est trop tentant. Pis comme Jospin chuis incontrôlable dans la furie.

Par

En réponse à deville70

Perso, je n' ai jamais acheté de voiture sur petite annonce.

A l' époque où je cherchais ma première voiture, il y avait chaque dimanche matin un "marché de l' occasion" sur le parking d' un centre commercial aux environs de chez moi. On y venait directement avec sa voiture pour la vendre sur place (particulier ou professionnel). Et en tant qu' acheteur, on voyait de près (ou du moins le plus possible!) à quoi on avait affaire... Entretien, factures, papiers...

Bon, ca pouvait aussi avoir un côté "cour des miracles" selon les vendeurs!

   

Il y avait aussi et tout simplement les pancartes "À VENDRE" collées sur les lunettes arrière avec le numéro c'était simple parce qu'on pouvais déjà remarquer son état avant même d'appeler.

Par

Pour être honnête, la centrale y'avait le recours juridique..

Les parkings de supermarchés c'était plus le bon coin ou jesaiplukel site belge, la cour des miracles..

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Ça rappelle des souvenirs ces journaux, le Minitel c était surtout pour aller sur 36 15 Ulla:cubitus:

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Bodel combien de caisses j'ai cherché étant plus jeune avec le pater! C'était sur annonces-vertes :biggrin:

Par

En réponse à Germanpro

Il y avait aussi et tout simplement les pancartes "À VENDRE" collées sur les lunettes arrière avec le numéro c'était simple parce qu'on pouvais déjà remarquer son état avant même d'appeler.

   

Exactement. C' était un moyen de communication tellement simple.

Aujourd' hui, on met son annonce en ligne, sur des sites où il faut parfois avoir un compte pour y accéder... Et la retrouver parmis tant d' autres...

Par

Et oui, j'ai acheté ma premiere voiture sur la centrale papier: une magnifique ford escort cabrio verte interieur beige, vendue par une dame de Versailles. Un bijou qui m'a bien rendu service (c'etait le seul cabriolet 5 places!) pendant 1 an et demi, avant que je ne le revends presque au même prix...

Par

En réponse à caffellatte

Et oui, j'ai acheté ma premiere voiture sur la centrale papier: une magnifique ford escort cabrio verte interieur beige, vendue par une dame de Versailles. Un bijou qui m'a bien rendu service (c'etait le seul cabriolet 5 places!) pendant 1 an et demi, avant que je ne le revends presque au même prix...

   

excellent choix.

Ford :bien:

Par

En réponse à matrix71

Je fessait les allée de vendeur occasion

   

Sais tu que la fessée est interdite ?

Par

Grâce à internet, il y a aussi plus d'arnaques :bah:

Par

En réponse à BAXTER 49

Grâce à internet, il y a aussi plus d'arnaques :bah:

   

Pas plus que les gros gitans voiture de occasion des ex cassé vendus maquier

Par

ça devait être une vrai galère, ou alors il ne fallait pas avoir trop de critères à l'époque les pros de l'occasion devaient être quasi incontournable, je suis étonné qu'ils soient toujours si nombreux à l'heure où vendre/acheter une voiture est devenu plus simple.

C'est d'autant plus vrai pour l'immobilier, qu'elle est l'intérêt aujourd'hui de laisser des sommes énormes à des agences immobilieres qui ne font pas grand chose de plus que ce que l'ont peut aujourd'hui faire soit même.

Par

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"Avant Internet, l’achat d’une occasion était une aventure…"

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Et depuis c'est une arnaque !!!:biggrin:

Par

a l'époque une annonnce sur paru vendu... 3 semaines pour le prix de 2..

et su pas vendu 3 semaines de plus...

bien sur tu donnais ton fixe..

et rencart en bas de chez toi... pas d'arnaque pas d'aventure!!!

simple...

rien à voir aujourd'hui avec les mecs qui se planquent derrierre un portable ou adresse internet...

autrefois 80% des caisses achetés aux particuliers...

aujourd'hui avec les LOA... les garages ont la main sur les caisses récentes!!!

tu te fais bien niquer...

le prix du neuf deviens astronomique!!

l'okaze aussi...

bref c'était mieux avant!!!

eh oui...

Par

En réponse à Alxcs76

ça devait être une vrai galère, ou alors il ne fallait pas avoir trop de critères à l'époque les pros de l'occasion devaient être quasi incontournable, je suis étonné qu'ils soient toujours si nombreux à l'heure où vendre/acheter une voiture est devenu plus simple.

C'est d'autant plus vrai pour l'immobilier, qu'elle est l'intérêt aujourd'hui de laisser des sommes énormes à des agences immobilieres qui ne font pas grand chose de plus que ce que l'ont peut aujourd'hui faire soit même.

   

si t'es malin tu essaie de vendre toi meme...

quand aux agences... quand elles ont trouvé un gars...

pour acheter à 200 000...

bin tu dis j'en ai un a 205 000...

l'agence s'alignera et réduira sa comm...

bref elle te piquera que 5000 au lieu de 10 000!!!

j'ai fais le coup 3 fois çà marche à tout les coups...

le bluff...!!!

de toute façon un particulier te baissrra toujours un peu...

Par

Une fois de plus, conserver longtemps sa voiture permet de ne pas se poser ces questions là trop souvent.

Par

Pour moi, premier achat avec une annonce sur "Le Progrès " avec un type imbuvable mais la voiture valait le coup ( une 305 GR 1300 impeccable et 75000 kms ) pour 10 000 F en 1986 . C'était moins cher qu'une 205 ou R5 . Mais c'était plus long pour dégoter la perle recherchée. Quand au marchés sur les parkings! de grandes surfaces ou autres, j'y ai fait une bb ente très rapide, suffisait que la voiture sois propre intérieur et extérieur, vendue en moins d'une heure pour partir en Algerie, payée en liquide .!

Par

Ah c'était une époque sympa ! Et cela n'empêchait pas de tomber également sur de très bonnes occasions. Tout était une question de rapidité et de feeling.

Par contre cela ne facilitait pas la vente d un modèle de niche car la plupart des annonces étaient locales ! Depuis Internet on n'hésite plus à prendre le TGV pour aller chercher une voiture ! Mais cela ne garanti pas non plus les bonnes surprises malgré les photos...

Par

Je me rappelle acheter le PAP à la gare Montparnasse à 6h du matin et visiter les premiers appartements des 9h, pas étonnant que les Bretons restent autour de cette gare, pas le temps de traverser Paris pour un autre appartement dans un quartier que je ne connaissais pas. 2-3 visites et à midi je signais le bail.

Par

En réponse à marco25

Sais tu que la fessée est interdite ?

   

c'est pour ça qu'il en parle au passé

Par

Ancien de l'industrie automobile, j'ai beaucoup utilisé la Centrale, pour vendre, dans les années 80, tous les 6 mois! Quelques situations cocasses, mais rien de grave!

Par

Aussi des voitures achetées dans la famille ou des proches, il fallait être patient mais cela permettait de savoir ce que l'on achetait entretien et voitures toujours au garage, c'était important la corrosion faisait encore des ravages au début des années 80.

Par

En général il y avait régulièrement des foires aux occasions les week end organisées dans les zones commerciales.

Les vendeurs payaient une place et les acheteurs, visitaient un immense magasin de voitures avec des vendeurs forcément très impliqués.

Les foires les mieux organisées avait des carrés de parking spécialisés dans certains types de véhicules. Les filtres de recherche avant l'heure.

Par

En réponse à Germanpro

Il y avait aussi et tout simplement les pancartes "À VENDRE" collées sur les lunettes arrière avec le numéro c'était simple parce qu'on pouvais déjà remarquer son état avant même d'appeler.

   

On en voit encore.

Par

En réponse à nicotdi

Ça rappelle des souvenirs ces journaux, le Minitel c était surtout pour aller sur 36 15 Ulla:cubitus:

   

D'après le rédacteur, le minitel était déjà "digital" ce qui correspond bien à 3615 ULLA. :biggrin:

 

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