Commentaires - Jaguar, qui ne vend plus de voitures, reporte ses nouveautés électriques

Le rosbeefbashing, britonbashing, jaguarbashing qui va suivre sera plus que mérité!!! (C'est comme ça qu'on dit à Cara quand on vanne une marque pour la merde qu'elle produit... qui a dit DS?)

Ils ont voulu suivre la tendance en la stabilotant (en rose, of course). Manque de pot, la tendance ciblée se termine. La techno electro... bah, c'est pas suffisant. Et la N°8 a poussé le curseur beaucoup trop loin. Même Rolls a un genou à terre.

Jaguar sera enseigné dans les écoles au même titre que Kodak et le numérique.

On ne verra jamais ces nouveautés, Jaguar est en phase finale

Jaguar mourra bien avant DS, Lancia, Maserati

Le rosbeefbashing, britonbashing, jaguarbashing qui va suivre sera plus que mérité!!! (C'est comme ça qu'on dit à Cara quand on vanne une marque pour la merde qu'elle produit... qui a dit DS?)

Ils ont voulu suivre la tendance en la stabilotant (en rose, of course). Manque de pot, la tendance ciblée se termine. La techno electro... bah, c'est pas suffisant. Et la N°8 a poussé le curseur beaucoup trop loin. Même Rolls a un genou à terre.

Jaguar sera enseigné dans les écoles au même titre que Kodak et le numérique.

Le rosbeefbashing, britonbashing, jaguarbashing qui va suivre sera plus que mérité!!! (C'est comme ça qu'on dit à Cara quand on vanne une marque pour la merde qu'elle produit... qui a dit DS?)

Ils ont voulu suivre la tendance en la stabilotant (en rose, of course). Manque de pot, la tendance ciblée se termine. La techno electro... bah, c'est pas suffisant. Et la N°8 a poussé le curseur beaucoup trop loin. Même Rolls a un genou à terre.

Jaguar sera enseigné dans les écoles au même titre que Kodak et le numérique.

La clientèle de Jaguar étant aisée et conservatrice, il fallait proposer des voitures ... conservatrices ! Du bois, du cuir, une carrosserie 3 volumes s'inspirant des XJ ou XJ/S pour les coupés, et surtout un bon gros moteur qui glougloute, éventuellement hybridé pour éviter les malus. Ford l'avait compris dans les années 90 et début des années 2000, avec une gamme en plus fiabilisée. Depuis c'est la cata...

Que cette boîte ferme.

Go woke, go broke.

Afuera!

Le rosbeefbashing, britonbashing, jaguarbashing qui va suivre sera plus que mérité!!! (C'est comme ça qu'on dit à Cara quand on vanne une marque pour la merde qu'elle produit... qui a dit DS?)

Ils ont voulu suivre la tendance en la stabilotant (en rose, of course). Manque de pot, la tendance ciblée se termine. La techno electro... bah, c'est pas suffisant. Et la N°8 a poussé le curseur beaucoup trop loin. Même Rolls a un genou à terre.

Jaguar sera enseigné dans les écoles au même titre que Kodak et le numérique.

Au contraire. Kodak sont restés bloqués sur un ancien logiciel, alors que Jaguar a voulu révolutionner le sien.

Ça part d'une bonne analyse de leur situation en réalité.

Quel est le postulat de départ de Jaguar ?

Nous sommes une marque européenne et l’Europe interdit la voiture plaisir traditionnelle (basée sur la noblesse de l'ingénierie mécanique, sur les sensations que délivre le moteur, etc...) et comme c'est une impasse (au vu de l'évolution du cadre légal qui interdit ce plaisir à terme sur notre continent), autant faire un volte face total et partir dans une direction totalement opposée.

Cette première analyse de Jaguar est malheureusement correcte.

Jaguar a fait un pari : soit l'automobile plaisir disparait (et Jaguar aussi), soit on arrive a convaincre ceux qui votent pour "Génération S" d'acheter des voitures de luxe avec les codes associés à cette mouvance politique & idéologique puisque dans les faits, c'est la seule chose qu'on sera autorisé à vendre dans les années à venir.

Les codes parlons en : déconstruction de genre & gloubiboulga d'art abstrait : le genre de truc qui déclenche une érection immédiate chez le bobo qui y voit une analyse lucide des conventions sociétale et une critique acerbe de la société de consommation. (il y voit surtout ce qu'il a envie d'y voir ), alors que moi j'y vois l'absence total du "beau" (notion dépassée j'en conviens, je suis old school) & un vide de la pensée intersidérale illustré par 4 travelos qui se meuvent comme un junky sous Fentanyl.

Le problème, c'est que l'automobile plaisir c'est l'anti-déconstruction par excellence, ça reprend les codes virilistes (bou !!!! bou !!! c'est mal le mâle ! ), ça illustre un plaisir coupable : ça pollue juste pour le plaisir et rien d'autre ! et en 2025, c'est très mal "la recherche du plaisir".

Or, s'il existe une autre clientèle pour les voitures (disons onéreuses) : c'est le techno geek, l'ultra consommateur, celui qui à peine sa VE achetée veut à nouveau en changer car la prochaine qui la remplace à un Ryzen de dernière génération et une tablette 2 pouces plus grande.

Cette clientèle est réceptive aux innovations (elle s'est jeté sur la modèle 3 de Tesla par exemple) mais elle ne répond pas au code de déconstruction (du reste tonton Elon est pas vraiment déconstruit sur le plan idéologique).

Mais la clientèle éphèbe à tendance bobo (non geek) ciblée par Jaguar, n'est malheureusement pas la cible d'une automobile de luxe (ou premium) quand bien même on lui sert son plat préféré à la cantine (ce qu'a essayé de faire Jaguar en compilant tous les codes culturels de cette nouvelle classe sociologique).

Conclusion : Jaguar a essayé de toucher un public qui ne sera jamais la cible d'une auto premium ou de luxe. C'est là son erreur.

Et Picasso , tu aimes ?

Moi , pas .

C'est marrant parcequ ́on croirait que tu parles de cette mouvance.

Et Picasso , tu aimes ?

Moi , pas .

C'est marrant parcequ ́on croirait que tu parles de cette mouvance.

Au contraire. Kodak sont restés bloqués sur un ancien logiciel, alors que Jaguar a voulu révolutionner le sien.

Ça part d'une bonne analyse de leur situation en réalité.

Quel est le postulat de départ de Jaguar ?

Nous sommes une marque européenne et l’Europe interdit la voiture plaisir traditionnelle (basée sur la noblesse de l'ingénierie mécanique, sur les sensations que délivre le moteur, etc...) et comme c'est une impasse (au vu de l'évolution du cadre légal qui interdit ce plaisir à terme sur notre continent), autant faire un volte face total et partir dans une direction totalement opposée.

Cette première analyse de Jaguar est malheureusement correcte.

Jaguar a fait un pari : soit l'automobile plaisir disparait (et Jaguar aussi), soit on arrive a convaincre ceux qui votent pour "Génération S" d'acheter des voitures de luxe avec les codes associés à cette mouvance politique & idéologique puisque dans les faits, c'est la seule chose qu'on sera autorisé à vendre dans les années à venir.

Les codes parlons en : déconstruction de genre & gloubiboulga d'art abstrait : le genre de truc qui déclenche une érection immédiate chez le bobo qui y voit une analyse lucide des conventions sociétale et une critique acerbe de la société de consommation. (il y voit surtout ce qu'il a envie d'y voir ), alors que moi j'y vois l'absence total du "beau" (notion dépassée j'en conviens, je suis old school) & un vide de la pensée intersidérale illustré par 4 travelos qui se meuvent comme un junky sous Fentanyl.

Le problème, c'est que l'automobile plaisir c'est l'anti-déconstruction par excellence, ça reprend les codes virilistes (bou !!!! bou !!! c'est mal le mâle ! ), ça illustre un plaisir coupable : ça pollue juste pour le plaisir et rien d'autre ! et en 2025, c'est très mal "la recherche du plaisir".

Or, s'il existe une autre clientèle pour les voitures (disons onéreuses) : c'est le techno geek, l'ultra consommateur, celui qui à peine sa VE achetée veut à nouveau en changer car la prochaine qui la remplace à un Ryzen de dernière génération et une tablette 2 pouces plus grande.

Cette clientèle est réceptive aux innovations (elle s'est jeté sur la modèle 3 de Tesla par exemple) mais elle ne répond pas au code de déconstruction (du reste tonton Elon est pas vraiment déconstruit sur le plan idéologique).

Mais la clientèle éphèbe à tendance bobo (non geek) ciblée par Jaguar, n'est malheureusement pas la cible d'une automobile de luxe (ou premium) quand bien même on lui sert son plat préféré à la cantine (ce qu'a essayé de faire Jaguar en compilant tous les codes culturels de cette nouvelle classe sociologique).

Conclusion : Jaguar a essayé de toucher un public qui ne sera jamais la cible d'une auto premium ou de luxe. C'est là son erreur.

Je n'ai pas du tout la même analyse.

Jaguar durant les années 90-2000 a vu sa clientèle vieillir à vitesse grand V et a cherché à conquérir de nouveaux groupes démographiques. Ils ont tenté l'ouverture vers le bas avec des modèles plus abordables (X-type puis XE) mais ça n'a pas vraiment porté ses fruits. Il fallait faire quelque chose, n'importe quoi, pour redevenir pertinent (Jaguar sans les boiseries, c'est plus jaguar, mais les gens qui aiment la ronce de noyer dans leur voiture sont au cimetière ou en route pour celui-ci, pour caricaturer).

A côté ils ont Land Rover qui malgré des prix élevés et une gamme limitée va bien.

Ils sont pas allé chercher loin : Jaguar doit vendre peu, à un prix élevé, pour une population bien ciblée. Qui en Angleterre est relativement jeune, a du fric et est prêt à payer pour avoir une voiture de luxe sans pour autant être footballeur ? Les artistes et les mécènes, tous ceux qui font les tendances et veulent se distinguer. A ceux-ci tu leur vends une voiture électrique (ils s'en branlent du nombre de cylindres après tout), au design fort, avec une palette de couleurs large et personnalisable. On verra ce que l'opération séduction donnera (moi je pense que leur timing est foireux : faire parler de toi 2 ans avant de sortir le moindre véhicule c'est la gamelle assurée), mais dans leur situation je vois mal comment ils auraient pu faire autrement : vendre une berline à gros moteur quand en face tu as les BAM qui ont capté toute l'image de marque, il ne te reste que des niches à occuper et il va falloir te distinguer autrement.

C'est mon analyse à deux ronds.

''Vendre aux artistes.''

Ca limite la clientèle possible, qui préfère de loin le jet privé ou le Yatch a la voiture si tu veux mon avis.

Ils ont vraiment des dirigeants debiles chez Jaguar. Leur premier modèle électrique est un fiasco complet (obligés de racheter des I-Pace à leurs clients) et ils décident de se lancer dans le 100% électrique alors que le marché pour ce type de voiture est loin d'être mature.

Ne plus produire de véhicules le temps de basculer vers l'électrique est là aussi complètement suicidaire, ils n'ont même pas imaginé un seul instant que si l'électrique ne se développe pas pour une raison X ou Y ils n'avaient aucun plan de rechange. En gros ça passe ou sa casse.

J'aimerais bien savoir ce que font leurs ouvriers et techniciens maintenant que les chaînes sont fermées... Ils jouent aux cartes, ils sont au chômage technique ? Ça va être beau la reprise du travail après des mois d'arrêt de production...

Bref la marque Jaguar est déjà morte mais ils ne le savent pas encore...

C'était ma réflexion aussi.

Que font les employés dans les usines si les chaines ne tournent plus ?

Quand je vois comment il est dur de remettre les gens au boulot, ne serait-ce qu'après les ponts du mois de mai, je n'ose imaginer comment ça va être dur pour eux.

Et ne pas oublier non plus la perte des compétences qui va avec cette non activité.

C'était ma réflexion aussi.

Que font les employés dans les usines si les chaines ne tournent plus ?

Quand je vois comment il est dur de remettre les gens au boulot, ne serait-ce qu'après les ponts du mois de mai, je n'ose imaginer comment ça va être dur pour eux.

Et ne pas oublier non plus la perte des compétences qui va avec cette non activité.

On est quand même sur l'inverse de Kodak pour le coup, ils ne sont pas restés fermés à propos de la nouvelle technologie au point d'essayer de la reléguer sous le tapis ?

Il est bien difficile de prévoir l'avenir. De même il ne faut reprendre l'exemple faisandé de la mort d'un fournisseur de consommables qui n'a pas survécu quand plus personne n'a acheté ses produits devenus inutiles.

D'ailleurs, il y a des application industrielles de typons en blanc et noir qui n'ont pas toutes disparues. Je ne sais pas ce qu'il en est des fournisseurs en 2025, j'ai quitté de monde là vers 1998.

Au contraire. Kodak sont restés bloqués sur un ancien logiciel, alors que Jaguar a voulu révolutionner le sien.

Ça part d'une bonne analyse de leur situation en réalité.

Quel est le postulat de départ de Jaguar ?

Nous sommes une marque européenne et l’Europe interdit la voiture plaisir traditionnelle (basée sur la noblesse de l'ingénierie mécanique, sur les sensations que délivre le moteur, etc...) et comme c'est une impasse (au vu de l'évolution du cadre légal qui interdit ce plaisir à terme sur notre continent), autant faire un volte face total et partir dans une direction totalement opposée.

Cette première analyse de Jaguar est malheureusement correcte.

Jaguar a fait un pari : soit l'automobile plaisir disparait (et Jaguar aussi), soit on arrive a convaincre ceux qui votent pour "Génération S" d'acheter des voitures de luxe avec les codes associés à cette mouvance politique & idéologique puisque dans les faits, c'est la seule chose qu'on sera autorisé à vendre dans les années à venir.

Les codes parlons en : déconstruction de genre & gloubiboulga d'art abstrait : le genre de truc qui déclenche une érection immédiate chez le bobo qui y voit une analyse lucide des conventions sociétale et une critique acerbe de la société de consommation. (il y voit surtout ce qu'il a envie d'y voir ), alors que moi j'y vois l'absence total du "beau" (notion dépassée j'en conviens, je suis old school) & un vide de la pensée intersidérale illustré par 4 travelos qui se meuvent comme un junky sous Fentanyl.

Le problème, c'est que l'automobile plaisir c'est l'anti-déconstruction par excellence, ça reprend les codes virilistes (bou !!!! bou !!! c'est mal le mâle ! ), ça illustre un plaisir coupable : ça pollue juste pour le plaisir et rien d'autre ! et en 2025, c'est très mal "la recherche du plaisir".

Or, s'il existe une autre clientèle pour les voitures (disons onéreuses) : c'est le techno geek, l'ultra consommateur, celui qui à peine sa VE achetée veut à nouveau en changer car la prochaine qui la remplace à un Ryzen de dernière génération et une tablette 2 pouces plus grande.

Cette clientèle est réceptive aux innovations (elle s'est jeté sur la modèle 3 de Tesla par exemple) mais elle ne répond pas au code de déconstruction (du reste tonton Elon est pas vraiment déconstruit sur le plan idéologique).

Mais la clientèle éphèbe à tendance bobo (non geek) ciblée par Jaguar, n'est malheureusement pas la cible d'une automobile de luxe (ou premium) quand bien même on lui sert son plat préféré à la cantine (ce qu'a essayé de faire Jaguar en compilant tous les codes culturels de cette nouvelle classe sociologique).

Conclusion : Jaguar a essayé de toucher un public qui ne sera jamais la cible d'une auto premium ou de luxe. C'est là son erreur.

C'est ce que j'ai dit juste avant (dans mes précédentes réponses): Erreur de Stratégie.

Ce que tu dis est intéressant: "marque européenne. l’Europe interdit la voiture plaisir traditionnelle" Ce genre de voitures, c'est peut être européens mais ça roule surtout en Russie, Moyen Orient, Chine, USA... L'Europe n'est pas vital pour ces gens-là et les marchés cités sont plus 'souples' niveau fumée noire.

Facile à dire, aujourd'hui: Rien ne les empechait de faire du thermique ET de l'elec. Porsche le fait, Ferrari s'y emploie... Tous, en fait!

Tous les autres avaient prévu la même chose de toutes manières mais n'ont pas FANFARONNÉ comme Jag. On est passé de la galéjade, à la vanne, au badbuzz puis au shitstorme. Ça fait beaucoup!

Une marque qui va finir comme SAAB et c'est très triste...

Jaguar fera faillite avant de lancer un quelconque nouveau modèle électrique.

Ça serait bien que la marque tombe dans l'escarcelle de Tesla. Ça permettrait à Jaguar d'avoir des plateformes électriques au top avec une qualité de fabrication de bon aloi et un design sympa (parce qu'il faut revenir à du galbe bien British, pas des lignes taillées à la serpe).

Et ça permettrait à Tesla de vraiment proposer une marque électrique accessible avec la marque éponyme, et d'aller taper dans le vrai haut de gamme avec cette autre marque et dégager potentiellement encore plus de marges.

Manque plus que l’étape disparition du coup.