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Notre premier Top 10 des restylages les plus réussis

Dans Guide fiabilité / Actu occasion

Julien Bertaux

C’est un passage obligé, ou presque : arrivée à mi-carrière, une auto profite d’un restylage. Les évolutions apportées ne sont pas toujours au goût du plus grand nombre, mais certaines sont particulièrement appréciées. Voici une sélection des restylages qui, selon notre avis, sont réussis.

Notre premier Top 10 des restylages les plus réussis

Les goûts et les couleurs sont propres à chacun, aussi bien dans le domaine culinaire que celui du style automobile. C’est un sujet purement subjectif que nous traitons ici, en nous éloignant quelque peu de l'objectivité du journaliste. Seulement, derrière un journaliste automobile, sommeille très souvent un passionné.

Voici donc une sélection non exhaustive, et bien sûr subjective, de dix restylages parmi les plus réussis. Ni la technique, ni le succès ou les chiffres de vente ne viennent étayer ce choix. Et il est à parier que de nombreux lecteurs désapprouveront certains modèles présents ici. C’est pourquoi je les invite à s’exprimer dans les commentaires. D’ailleurs, un deuxième volet comprenant des modèles plus récents est en réflexion…

BMW Série 3 E90

BMW Série 3 E90 phase 1
BMW Série 3 E90 phase 1
BMW Série 3 E90 phase 2
BMW Série 3 E90 phase 2

BMW Série 3 E90 phase 1
BMW Série 3 E90 phase 1
BMW Série 3 E90 phase 2
BMW Série 3 E90 phase 2

Après une génération E46 très réussie sur le plan du style, cette E90 naît sous le crayon du designer Chris Bangle ne produit pas le même effet. L’ensemble est équilibré et harmonieux, mais certains détails chiffonnent quelque peu les habitués de la marque. À l’avant, l’ouverture en bas du bouclier n’est pas des plus heureux, mais ce sont surtout les feux arrière qui déroutent. Les couleurs employées ainsi que leur forme manquent d’homogénéité. La marque décide de revoir sa copie en septembre 2008 avec un avant subtilement revu (bouclier, calandre, optiques). La bonne surprise est à l’arrière avec des feux redessinés qui adoptent un léger décroché. De plus, leur couleur rouge est uniforme et la technologie à LED s’y invite. Enfin, le style intérieur est inchangé, mais la qualité de la finition progresse afin de revenir aux standards de la marque. Tout savoir sur le restylage de la Série 3.

Citroën Berlingo I

Citroën Berlingo I phase 1
Citroën Berlingo I phase 1
Citroën Berlingo I phase 2
Citroën Berlingo I phase 2

Citroën Berlingo I phase 1
Citroën Berlingo I phase 1
Citroën Berlingo I phase 2
Citroën Berlingo I phase 2

Lors de sa sortie en 1996, le Berlingo marque une rupture avec les autres camionnettes de l’époque puisqu’il est de type mono volume, sans décrochement entre la cabine et la partie destinée au chargement. Le genre ludospace est né, suivi de près par le Renault Kangoo. Quoique sage, le style du Berlingo est alors dans l’ère du temps. Cependant, le restylage de 2002 va considérablement le moderniser. La partie avant est totalement revue, se muscle et prend des airs de SUV. Si la partie arrière n’évolue que très peu, la planche de bord est entièrement nouvelle. Elle paraît plus solide et fait la part belle aux rangements.

Citroën C5 I

Citroën C5 I phase 1
Citroën C5 I phase 1
Citroën C5 I phase 2
Citroën C5 I phase 2

Citroën C5 I phase 1
Citroën C5 I phase 1
Citroën C5 I phase 2
Citroën C5 I phase 2

Citroën s’est illustrée, notamment dans le passé, par ses prises de risque et un style parfois singulier. Avec la berline C5, la marque a fait l’opposé quitte à, paradoxalement, prendre le risque de ne plaire à personne. En effet, sa ligne placide était loin de faire tourner les têtes dans la rue. C’est pourquoi Citroën décide de changer profondément son style en 2004. Capot, calandre, optiques, boucler, logo, toute la partie avant y passe avec un résultat convaincant. À l’arrière, c’est un peu plus mitigé même si l’on peut saluer l’effort réalisé au niveau du bouclier et des feux désormais en deux parties. Tout savoir sur le restylage de la Citroën C5.

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Ford Focus III

Ford Focus III phase 1
Ford Focus III phase 1
Ford Focus III phase 2
Ford Focus III phase 2

Ford Focus III phase 1
Ford Focus III phase 1
Ford Focus III phase 2
Ford Focus III phase 2

Avec son bouclier ouvert en trois parties et formant deux « triangles », la Focus de troisième génération n’a pas vraiment un faciès facile. L’ensemble se révèle agressif sans pour autant être sportif. En novembre 2014, la compacte allemande a droit à un coup de bistouri bienvenu. L’avant s’assagit et devient nettement plus élégant. La calandre d’inspiration Aston Martin s’intègre parfaitement autour d’optiques plus allongées et d’un bouclier aux ouvertures tout en largeur. L’ensemble est nettement plus cohérent. À l’arrière, le graphisme des feux évolue que très légèrement. En revanche, la console centrale de la planche de bord accueille un écran plus grand et simplifie l’ergonomie des différentes commandes. Tout savoir sur le restylage de la Ford Focus.

Nissan Qashqai I

Nissan Qashqai I phase 1
Nissan Qashqai I phase 1
Nissan Qashqai I phase 2
Nissan Qashqai I phase 2

Nissan Qashqai I phase 1
Nissan Qashqai I phase 1
Nissan Qashqai I phase 2
Nissan Qashqai I phase 2

Il s’agissant sans doute du premier SUV qui reprenait les codes des berlines, tel un crossover. Ses lignes douces et ses proportions équilibrées en font une voiture agréable à l’œil. Il y a tout de même un élément qui vient perturber la lecture de ses lignes : les optiques avant. Davantage verticales, elles s’inscrivent assez mal dans la face avant de ce Qashqai. Ce petit « désagrément » sera réglé au printemps 2010 avec des éléments davantage dans le sens de la largeur. Ajouter à cela un capot, des ailes, une calandre et un bouclier redessiné et vous obtenez un crossover au design beaucoup plus cohérent. À l’arrière, le graphisme des feux est revu avec l’adoption d’un éclairage à LED.

Peugeot 406

Peugeot 406 phase 1
Peugeot 406 phase 1
Peugeot 406 phase 2
Peugeot 406 phase 2

Peugeot 406 phase 1
Peugeot 406 phase 1
Peugeot 406 phase 2
Peugeot 406 phase 2

Remplaçante de la 405, la berline tricorps de Peugeot fait l’unanimité lors de sa sortie en 1995. Malgré un style classique, il s’en dégage une certaine classe et l’équilibre des lignes est difficilement critiquable. Un dessin réussi que les designers prennent le risque de faire évoluer en 1999, non sans talent. Les optiques avant conservent un style pincé tout en profitant d’une glace lisse et le logo est nettement mieux mis en avant. Le bouclier est aussi plus moderne. À l’arrière, les feux deviennent rouges et sont séparés par un liseré de couleur carrosserie, un détail qui fait son petit effet.

Renault Clio II

Renault Clio II phase 1
Renault Clio II phase 1
Renault Clio II phase 2
Renault Clio II phase 2

Renault Clio II phase 1
Renault Clio II phase 1
Renault Clio II phase 2
Renault Clio II phase 2

Lors de sa sortie en 1998, la Renault Clio de deuxième génération adopte un style tout en rondeur, peut-être un peu trop. En juin 2001, le constructeur décide de faire évoluer en profondeur sa citadine. Ainsi, les phares avant un peu globuleux laissent place à des éléments plus travaillés esthétiquement. La face avant est ainsi transfigurée et gagne en modernité, tandis que l’arrière évolue légèrement (optique et bouclier). L’intérieur a également droit à une belle évolution, la finition, jusque-là moyenne, devient ce qui se fait de mieux dans la catégorie.

Renault Twingo II

Renault Twingo II phase 1
Renault Twingo II phase 1
Renault Twingo II phase 2
Renault Twingo II phase 2

Renault Twingo II phase 1
Renault Twingo II phase 1
Renault Twingo II phase 2
Renault Twingo II phase 2

Avec son look unique et sa face avant au regard de grenouille, la Twingo de première génération a marqué les esprits. Si bien que lorsque le second opus débarque en 2007, c’est la déception qui prime. Hormis le nom, la petite Renault a perdu son côté jovial pour devenir presque banale. En mars 2011, elle rectifie le tir avec l’apparition notamment d’optiques rondes à l’avant et de feux arrière en deux parties. En revanche, l’intérieur bien conçu dès le départ ne change pas.

Volkswagen Polo IV

Volkswagen Polo IV phase 1
Volkswagen Polo IV phase 1
Volkswagen Polo IV phase 2
Volkswagen Polo IV phase 2

Volkswagen Polo IV phase 1
Volkswagen Polo IV phase 1
Volkswagen Polo IV phase 2
Volkswagen Polo IV phase 2

En 2001, cette génération de Polo s’éloigne un peu du design de la Golf, mais conserve un sérieux certain. Un peu trop d’ailleurs, si les optiques rondes sont plutôt réussies, la face avant un peu « plate » lui donne un aspect fade. L’arrivée de la version restylée dépoussière nettement la petite Polo. Forme rondelette, calandre imposante, forme plus travaillée des phares, la Fourmi est réellement transfigurée. À l’arrière, le graphisme des feux évolue dans le bon sens, en s’intégrant davantage dans la gamme Volkswagen de l’époque.

Volkswagen Touran I

Volkswagen Touran I phase 1
Volkswagen Touran I phase 1
Volkswagen Touran I phase 2
Volkswagen Touran I phase 2

Volkswagen Touran I phase 1
Volkswagen Touran I phase 1
Volkswagen Touran I phase 2
Volkswagen Touran I phase 2

Nous restons dans l'univers Volkswagen et à une période proche puisque le premier Touran apparaît en 2003. Comme pour la Polo, on peut lui reprocher une partie avant sans aspérité, voire fade. Cela respire le sérieux, mais peu de choses s'en dégagent. En novembre 2006, la marque allemande applique la même recette que pour sa citadine avec un résultat pour le moins convaincant. Optiques avant retravaillées, calandre plus imposante et chromée, et bas du bouclier un peu plus acéré, la physionomie du Touran change. A l'arrière, l'intérieur des feux est revu avec l'intégration de parties blanches, l'ensemble donne une impression d'éclairage à LED, bien vu.

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Avis Citroen C5

C5 (2) 1.8 16V 125 SILLAGE (2007)

Par erbe le 14/05/2023

Bonjour, Heureux propriétaire d'une C5 1.8 16v 127ch Sillage d'octobre 2007 depuis Noël 2022, voici mon retour d'expérience des, à ce jour, 7000 kilomètres passés à son volant.Son confort, sa tenue de route et son insonorisation sont à mon sens ses qualités premières et les plus appréciables au quotidien. La position de conduite, grâce aux multiples réglages du siège, du volant et de l'accoudoir, est idéale. Les sièges offrent un moelleux rare qui permet d'envisager les longs voyages sans la moindre fatigue ou mal de dos. De même, l'habitacle est très spacieux, truffé de rangements et le coffre est énorme (471 l).Sur la route, la C5 fait preuve d'une grande stabilité et n'est pas sensible au vent latéral. Le roulis est assez bien maîtrisé et la direction est précise. Surtout, les suspensions hydrauliques (suspension Hydractive III sans mode Sport, réservé aux versions Exclusive) prodiguent un confort sans pareil. Les aspérités de la route sont très bien filtrées. Le freinage est quant à lui assez puissant et endurant, en dépit du poids coquet de la voiture. A ce titre, la C5 n'aime pas être brusquée, elle n'est pas faite pour être conduite sportivement. Elle n'est pas non plus très douée en ville, où les angles morts, la visibilité arrière et l'encombrement important ne facilitent ni la circulation ni les manœuvres. Il s'agit d'une grande berline idéale pour faire de la route sans fatigue.Le moteur 1.8 16V, fort de 127ch (117ch jusqu'en 2005), n'a aucun mal à mouvoir la C5 et ce assez sobrement : entre 6,6L et 6,9L/100km pour ma part sur 7000km, principalement effectués en extra-urbain. Tout juste pourra-t'on lui reprocher un certain manque de couple à bas régime, et une boite de vitesses (5 rapports) un peu lente à manier. Mais une fois la voiture lancée, les 127ch autorisent de bonnes accélérations et permettent de doubler sereinement. De plus, son silence de fonctionnement est appréciable, même sur autoroute où le moteur tourne autour des 3500/4000trs/min. De conception simple, sans turbo, sans calage variable de distribution ou autre technologie multipliant les éléments mécaniques et donc les risques d'anomalies, ce 1.8 16V se montre fiable et robuste. L'historique des factures depuis l'origine ne témoigne d'absolument aucune panne, en 15 ans et 160 000km. Rien que de l'entretien courant et le remplacement des consommables en temps et en heure. De même, la partie électronique ne révèle aucune défaillance pour le moment.En clair, ce moteur colle assez bien à la vocation de routière confortable et sereine de la C5, et fait preuve d'une fiabilité et d'une robustesse appréciables. A l'intérieur, la série spéciale Sillage offre un équipement pléthorique et encore d'actualité : 8 airbags, 4 vitres électriques, radar de stationnement AV et AR, régulateur/limiteur de vitesses, allumage des phares et des essuie-glaces automatique, climatisation automatique bi-zone, système Navi Drive comprenant autoradio CD 8HP, Bluetooth, GPS, ordinateur de bord etc. La planche de bord bénéficie d'une bonne finition, l'ensemble vieillit très bien à l'exception du plastique des poignées de portes intérieures. Aucun bruit parasite ou mauvais assemblage n'est à déplorer. Idem pour l'extérieur, où la peinture n'a pas perdu de son éclat au fil du temps et des kilomètres.En bref, la C5 est une routière à bord de laquelle chaque voyage est un plaisir. Son confort, sa tenue de route, son silence, son équipement en version Sillage, la rendent très agréable à utiliser. En revanche, elle est moins à l'aise en ville et en conduite sportive. Enfin, le 1.8 16v se montre silencieux, robuste, et assez performant en dépit d'un léger manque de couple. Une bonne affaire compte tenu du rapport prix/prestations...

C5 2.0 16S SX (2002)

Par  le 01/10/2022

Une très bonne Citroën malgré sa réputation (elle avait été descendue par la presse auto lors de sa sortie dans le début des années 2000) ce qui bien injuste compte tenu de ses qualités intrinsèques.J'ai possédé ce modèle entre 2017 et 2021, un vrai bonheur.- qualités routières excellentes, châssis, stabilité sur autoroute et en courbe- confort fantastique grâce à la suspension hydropneumatique (réglage de la fermeté)- moteur essence coupleux- habitacle spacieux, sièges bien moelleux- sécurité passive et active- le hayon est un vrai + pour le chargement d'objets volumineux- fiabilité très bonne (essence)Sa ligne très ''classique'' a été souvent décriée mais au contraire je trouve qu'elle vieillit plutôt bien comparativement à ses concurrentes de l'époque Laguna, Passat, Mondeo, ou Avensis... Les goûts et les couleurs en somme...Elle n'avait pas de trop gros défauts à mon avis, mis à part le gabarit un peu imposant en ville et la visibilité arrière un peu hasardeuse lors des manoeuvres.Eclairage d'origine un peu faible la nuit : remplacé par des ampoules effet xénon + efficaces.Des détails astucieux : - feux et essuie-glaces auto, accoudoirs avant et arrière, boîte à gant réfrigérée, rangements sous les sièges, trappe à ski, sièges arrières complètement rabattables en plancher plat.- la suspension descend pu monte automatiquement en fonction de la vitesse et de l'état de la chaussée pour améliorer l'aérodynamique, économiser du carburant ou améliorer le confort.Et aussi, pas besoin de soulever la voiture pour faire une vidange, filtre à huile accessible à la main depuis le capot sans avoir à se glisser sous la voiture. Et aussi, la suspension descend sur autoroute pour améliorer l'aérodynamique et économiser du carburant.Qualité autoradio CD et hi-fi tout à fait honorable.PAS de régulateur de vitesse, d'essuie-glace arrière ni de radar de recul sur la version SX.Consommation modérée sur route-autoroute (7-8 l/100) mais un gouffre en ville (10 l/100...)Si le prix de l'essence n'avait pas atteint des sommets j'aurai assurément repris le même modèle en phase 2, avec plus d'équipements et en boîte automatique pour encore plus de confort de conduite.

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