Renault n'aura pas eu gain de cause devant le Tribunal de Grande Instance du Havre et les 46 salariés accusés d'avoir bloqué le site de Sandouville lors des grèves de protestation contre la fermeture temporaire du site et les suppressions d'emplois ont pu ressortir soulagés.
Le Tribunal a estimé que contrairement à ce que Renault affirmait, il n'existait "aucun trouble illicite pour l'avenir de l'entreprise". Par conséquent, Renault qui demandait des mesures pour empêcher de nouveaux blocages et pour faire dégager les voies d'accès à l'usine et un préjudice de 1000 euros par heure de retard s'est retrouvé débouté et même condamné aux dépens !
Alain Richeux, Secrétaire CGT de l'usine, s'est réjoui de cette victoire.
"ils ont voulu nous faire passer pour des voyous et nous empêcher de manifester contre leur politique", c'est raté.
via Reuters
















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