Nous vous avions laissé un peu en plan avec un cul de Barchetta Bertone sous les yeux, sans plus de photos. Il nous faut réparer cet impair en vous offrant le recto d'un verso déjà sympathique.

La Barchetta Bertone a 2 qualités. D'une part, elle repose sur la plateforme de la Panda 100 HP que tout le monde ou presque a encensé et ensuite elle n'a rien d'arrogant, rien d'extravagant dans ses volumes et elle a une bonne gueule. Je sais ça fait plus de 2...

Le mariage d'aluminium formé au marteau (si si) avec de larges bandes horizontales vitrées et teintées qui s'accordent avec la tonalité des optiques est plutôt réussi. Le postérieur et ses feux reprennent un peu le dessin de la Jet2 et personne n'ira lui reprocher un air astonien assez plaisant.

Bref, un concept assez réaliste qui pourrait asseoir un peu plus le renouveau de la marque Fiat dans un produit ludique sans ostentation, autre que celle du plaisir qu'affichera son conducteur. Mais ne nous emballons pas.

En bonus, vous découvrez la muse: c'est la Fiat 500 Spyder que Nuccio Bertone s'était concoctée en 1947 pour ses besoins personnels.

Depuis sa mort, vous trouverez comme moi qu'il a beaucoup changé Nuccio. Le casque sans doute...