Par rapport aux versions essence, la Forfour diesel n’évolue pas. Elle conserve sa bonne tenue de route en usage hors agglomérations, son agrément en ville et son côté ludique avec sa banquette arrière coulissante ou son intérieur coloré. A l’aise dans la plupart des situations, certains points demeurent agaçants comme les commandes de vitres entre les sièges avant. Loin d’être pratique quand on souhaite baisser sa vitre tout en conduisant. Les rétroviseurs extérieurs offrent une bonne visibilité mais leur grande taille les expose plus aux chocs et entraînent des bruits d’airs au-delà de 120 km/h. Question visibilité, les montants de pare-brise ne sont pas des modèles du genre. Leur épaisseur se révèle être pénalisante surtout à l’attaque des virages et il en est de même à l’arrière.

Essai - Smart Forfour cdi : du gasoil pour gazer

La bonne tenue de route obtenue grâce à des suspensions relativement fermes a des répercutions sur le confort puisque l’amortissement est très sec malgré le bon maintien et l’assise stable des sièges.

Sur le plan des équipements, aucun changement. Les finitions habituelles sont toujours d’actualité. On retrouve logiquement les définitions Pulse et Passion. Cette dernière qui représente le haut de gamme est équipée de la climatisation, du toit vitré panoramique, du volant cuir, des jantes alliage et des antibrouillards. La différence entre ces deux finitions atteint 2000 €.

Trois packs sont disponibles en option dont l’inédit pack Lounge (200 €) qui permet de transformer votre Forfour en véritable salon en repliant les sièges avant. Original mais pas vraiment très utile selon nous.