Une Commission européenne que l'entreprise Uber vient de solliciter pour la deuxième fois en trois mois. Dans la ligne de mire, la France qui a sorti une loi Thevenoud supposée réglementer le sujet. Mais l'initiative législative du nom de celui qui souffrait de phobie administrative à l'égard de l'administration fiscale aurait de quoi donner des aigreurs aux tenants de la libre concurrence et de la déréglementation. Cependant, la plainte déposée par Uber à Bruxelles ne vise pas que la France mais aussi l'Espagne et l'Allemagne.
On rappellera que les activités de Uber sont aussi phagocytées en Belgique alors le nom a été banni d'Espagne, des Pays-Bas, de l'Inde et de la Thaïlande. Sur le terrain, en France, on recense une trentaine d'interpellations de chauffeurs travaillant avec le système UberPOP, avec des peines encourues pouvant aller jusqu'à 15 000 euros par chauffeur. Mais Uber tient bon et monte au front. Des décisions prises au niveau européen dépendra du sort de la révolution américaine dans le transport de la personne.
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